Un petit traité d’écoute, de lâcher prise et de bienveillance envers soi, loin des obligations et des contraintes que l’on nous impose et que nous nous imposons, pour vivre pleinement, sereinement et en accord avec son être intérieur et son âme d’enfant retrouvée. ( )

There were some interesting affirmations in the first half of the book, but the second half felt like more of a how-to guide for meditation, which wasn't quite what I was looking for. ( )

Não se estresse, largue o celular, faça ioga, cultive o bem, sorria. Nos torturamos o tempo todo para fazer melhor, agir certo, ser politicamente corretos. São tantas obrigações que sempre achamos que estamos "devendo".
O autor do best-seller A arte francesa de mandar tudo à merda, o filósofo Fabrice Midal, estourou na Europa pregando justamente que está na hora de nos preocuparmos menos com o que se espera de nós – e simplesmente ser o que somos.
Em 15 capítulos, Midal parte de sua experiência de vida e de uma análise social para derrubar crenças sobre a vida e a meditação.

I don't even know what the author's point is, half the time. It's both repetitive and vague and left me feeling like the whole thing is a trick or a practical joke by the author. I just couldn't face more than 3 chapters of this, so DNF. ( )

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Midal-Foutez-vous-la-paix-et-commencez-a-vivre/12...

> FOUTEZ-VOUS LA PAIX ! Et commencez à vivre, par Fabrice Midal - Éditions Flammarion - 190 pages - 16,90 €. — Fabrice Midal renverse la table ! Celle sur laquelle sont sagement posés tous les livres consacrés à la méditation, au « développement personnel », à la « connaissance de soi », etc… etc… La méditation n’est pas une tisane, ni un moyen d’être plus performant au travail, plus concentré, plus ceci ou plus cela…
Arrêtons-nous, dit-il, de vouloir être autres que ce que nous sommes, d’écouter ceux qui nous bourrent le mou en vue d’être de belles images (comme la leur ?), imperturbables en toutes circonstances.
Arrêtons d’essayer de nous débarrasser d’une éducation contraignante pour en adopter une autre, de passer d’une dictature à une autre, de quitter un moule pour nous jeter la tête la première dans un autre, celui du « sage ». Pourquoi chasser le naturel (qui n’en est pas un), pour le remplacer par une pseudo perfection, une pseudo sagesse ? Qui veut faire l’ange fait la bête, c’est bien connu !
Rejoignant parfois l’Alan Watts de « L’éloge de l’insécurité », Fabrice Midal propose une sorte de « voie du milieu » se situant entre ce que nous exigeons de nous-mêmes et ce que nous nous reprochons : en cela, il disserte sur la véritable signification de Satya. Laissons-nous toucher, faisons la paix avec nos blessures, sachons pleurer, les occasions de nous émerveiller n’en ressortiront que mieux, soyons bienveillants, acceptons les difficultés comme étant une part de la réalité dont l’autre part est à chercher dans la liberté confiante que nous pouvons nous accorder.
Une fois le livre lu, que faisons-nous d’une telle lecture qui remet tant de choses en question ? Comment nous approprions-nous ce qu’il contient ? Chacun de nous a SA propre voie juste. —Françoise BLÉVOT
—Infos Yoga, (112), Mai/juin 2017, (p. 41)

> FOUTEZ-VOUS LA PAIX (pour pour tout le monde), de Fabrice Midal. — La pratique de la méditation convainc aujourd’hui jusque dans les mondes de l’hôpital ou de l’entreprise. Mais c’est au prix d’un contresens dangereux, avertit ici Fabrice Midal. Car la plupart de ses nouveaux adeptes en attendent un résultat « productif » : devenir plus équilibré, plus sage, plus créatif ou moins stressé. Et obtiennent le contraire – sentiment de honte, agitation, crispation –, confortant ainsi les critiques en vogue contre la « tyrannie du développement personnel ». Or, pour toucher à l’expérience profonde de cette pratique venue du bouddhisme, nous devrions ne rien en attendre. D’où l’invitation de cet enseignant reconnu à « cesser de méditer » pour commencer, enfin, à « ne rien faire » : « La méditation telle que je l’entends n’est pas une technique, elle n’est pas un exercice, elle n’a rien de mystérieux : elle est un art de vivre. L’art de se foutre la paix. » Et ainsi d’accéder à une « pleine présence », où les véritables possibles s’ouvrent à nous. S’appuyant à la fois sur son expérience et sur la voix des poètes et des philosophes, Midal délivre ainsi un inspirant éloge de la simple attention à ce qui est, comme voie d’accès la plus sûre à l’émerveillement qui amplifie notre existence. Flammarion, 300 p. (Philippe NASSIF, 18 janv. 2017)
—Philomag : https://www.philomag.com/les-livres/notre-selection/foutez-vous-la-paix-20467

> « Un livre extrêmement libérateur et déculpabilisant. »
—Psychologies Magazine

> FOUTEZ-VOUS LA PAIX ! ET COMMENCEZ À VIVRE / Fabrice Midal. — Il est philosophe et adepte de méditation, ce qui de nos jours n’est pas rare, mais son approche est différente. Il nous dit que la méditation importe, mais ne règle pas nos problèmes. Avec elle viennent le calme et la tranquillité. L’humain a ses peurs, ses colères, ses angoisses et ses défauts de toutes sortes et il doit « se foutre la paix », car nul ne peut devenir parfait. Nous vivons dans un monde où tout se veut perfection et rationalité et va à l’encontre de ce que signifie être un humain. Lisez ces pistes pour mieux vous comprendre et cessez d’exiger de vous l’impossible. Acceptez-vous et vivez. Il nous dit : apprenons à laisser jaillir la vie dans sa pure effervescence. C’est à ce moment que peuvent se réaliser les rêves. Édito, 192 p., 22,95 $
—Louise POULIN / Carcajou (Rosemère) ; In: Le libraire, No 101 | Juin - Août 2017 : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2562744