> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Krishnamurti-La-premiere-et-derniere-liberte/4248...
> J. Krishnamurti : La vraie Simplicité, In: Revue 3e millénaire, n°142, hiver 2021 (pp. 22-25)
> Krisnamurti : Observer ce qui est sans choix, In: Revue 3e millénaire, n°141, automne 2021 (p. 11)

> RÉSUMÉ. — L'autorité de Krishnamurti n'a cessé de grandir. Il incarne un courant spirituel indispensable à notre époque. Il apporte un message, une réponse à des questions fonda-mentales, vraies ou fausses. Esprit libre, il a un beau jour le courage de refuser d'être le Dieu vivant qu'on faisait de lui. Son seul souci est de rendre les hommes plus libres, de dénoncer les impostures du monde actuel.
La première et dernière liberté montre que les solutions collectives qui, de nos jours, requièrent une foi exclusive, ne peuvent être qu'illusoires et dangereuses. A chacun d'abord de faire la lumière en lui-même. Si l'on ne se comprend pas soi-même, on ne peut penser vrai. Krishnamurti ne nous enferme dans aucune méthode, aucun système, aucune religion. Il cherche à nous libérer par une interrogation, une mise en question permanente.
*Source: https://www.centredeconnaissance.org/

> LA PREMIÈRE ET DERNIÈRE LIBERTÉ, de J. Krishnamurti (Éditions Stock). — Il s'agit probablement du meilleur ouvrage - en un volume - d'introduction aux idées et observations de K, bien qu'il date de la période qui précéda immédiatement celle où son auditoire devint plus sophistiqué (thérapeutes, philosophes, Zen, Vajrayana et adeptes de Gurdjieff, étudiants des collèges et facultés). ... (Source)
In: Aryel Sanat, La vie intérieure de Krishnamurti, 2001 - Editions Adyar. (p. 258)

> Extrait. — « Le processus libérateur doit commencer par la perception aiguë et impartiale de nos désirs ainsi que de nos réactions aux systèmes de symboles qui nous ordonnent ou nous interdisent de vouloir ceci ou cela. Grâce à cette perception impartiale, et au fur et à mesure qu’elle pénètre dans les couches successives de l’ego et du subconscient qui s’y associe, surgissent l’amour et la compréhension, mais d’un ordre différent de celui qui nous est familier. Cette perception impartiale — à tout instant et en chaque circonstance — est la seule méditation effective. »
(Première et dernière liberté p. 22.)

> Extrait. — Interrogé sur son but, Krishnamurti réagit en disant : « Pourquoi me posez-vous cette question ?... Vivre n'est-il pas son propre but et son propre sens ? Pourquoi voulons-nous plus ?... L'homme qui vit dans la richesse de la vie, qui voit les choses telles qu'elles sont, se contente de ce qu'il a... Il ne demande pas quel est le but de la vie. Pour lui, le fait même de vivre est le commencement et la fin... La vie est relation, action en relation... Si nous commençons à comprendre l'action - c'est-à-dire nos relations avec les personnes, les possessions, les croyances et les idées, - nous voyons que la relation elle-même est sa propre récompense. »
(La première et dernière liberté (Stock - 1987), p.287-288.)

> 1953 - LA PREMIÈRE ET DERNIÈRE LIBERTÉ… ; (Extraits… en PDF, ePub),
URL : https://drive.google.com/drive/folders/1N5oZds_f64zKn4zEMIkPyqAHe1YO5djl?usp=sha...
Qu'est-ce que la réalité, qu'est-ce que Dieu ? Dieu n'est pas un mot, le mot n'est pas la chose. Pour connaître ce qui n'est pas mesurable, qui est intemporel, l'esprit doit se libérer du temps. Cela signifie qu'il doit être libre de toute pensée, de toute idée concernant Dieu. Que savez-vous sur Dieu ou la vérité ? Vous n'en savez absolument rien. Ce que vous connaissez ne sont que mots, expériences d'autrui ou à certains moments de vagues expériences. Certainement, cela n'est pas Dieu ni la réalité, cela n'est pas au-delà du temps. Pour connaître ce qui est au-delà du temps, le processus du temps doit être compris (...) Le temps est la pensée, le processus du devenir, l'accumulation de connaissances. Ceci constitue l'arrière plan de l'esprit (...) L'esprit doit être libre du « connu » ce qui signifie qu'il doit être complètement silencieux, non d'un silence (réalisé de propos délibéré par la volonté du « moi »). L'esprit qui réalise un silence résultant d'une action de propos délibéré, n'est pas (réellement) silencieux. Vous pouvez réussir à forcer votre esprit au silence pendant un moment mais ce n'est pas un silence véritable. Le silence se réalise seulement lorsque vous comprenez le processus total de la pensée, car la compréhension de ce processus engendre sa fin, et dans la fin du processus de la pensée réside le commencement du silence (véritable).
Quand l'esprit est complètement silencieux, aux niveaux superficiels et profonds l'Inconnu peut se révéler. Dieu, la vérité se révèle d'instant en instant (...) ceci ne se produit que dans un état de liberté et de spontanéité et non lorsque l'esprit se discipline conformément à un modèle. Dieu n'est pas une chose du mental, il ne se révèle pas à travers nos projections mentales. Il se réalise lorsqu'il y a vertu (véritable) qui est liberté. La vertu (véritable) réside dans le fait d'affronter le fait de ce qui est, et cet affrontement du fait est un état de félicité. Lorsque l'esprit est dans la félicité, serein, sans aucun mouvement, sans projection de pensées, l'éternel entre en existence (p. 272 - 274).
In: Robert Linssen, Krishnamurti « Psychologue de l'Ère Nouvelle », (pp. 122 - 123)
© 1971. Le Courrier du Livre, Paris, 191 pp.

> UN DES MEILLEURS LIVRES DE KRISHNAMURTI — L'intelligence à l'état pur, que dire de plus, c'est le livre idéal pour découvrir l'enseignement de Krishnamurti. On ne peut que sortir profondément ébranlé d'une telle lecture. (roudoudou)
—le 7 nov. 2010 (Sur Fnac.com) 5/5

> LA PREMIÈRE ET DERNIÈRE LIBERTÉ, par Jiddu Krishnamurti. — La première et dernière liberté est un livre de Jiddu Krishnamurti, un philosophe et enseignant spirituel indien. Ce livre explore la nature de la liberté et comment elle peut être atteinte dans nos vies intérieures et extérieures.
Krishnamurti affirme que pour atteindre la véritable liberté, nous devons comprendre les limitations de notre conditionnement culturel, social et personnel. Il encourage les lecteurs à remettre en question leurs croyances et à aborder chaque situation avec une conscience accrue, plutôt que de se laisser guider par des habitudes et des préjugés.
Le livre explore également des thèmes tels que la méditation, l'amour et la mort, et explique comment ces aspects de notre existence peuvent être explorés sans crainte ni attachement, pour atteindre une liberté intérieure véritable.
Dans l'ensemble, La première et dernière liberté est un livre profond et inspirant, qui offre une nouvelle perspective sur la vie et notre place dans le monde. Il est destiné à tout individu qui aspire à être plus libre et plus authentique dans sa vie.
—BooksAI ( )

Librería 2. Estante 3.

LA LIBERTAD PRIMER Y ÚLTIMA

¿QUÉ ES LO QUE BUSCAMOS?

¿Qué es lo que busca la mayoría de nosotros? ¿Qué es lo que
cada uno de nosotros quiere? Sobre todo en este mundo de
desasosiego, en el que todos procuran hallar algo de felicidad,
algo de paz, o algún refugio, resulta sin duda importante averiguar
qué es lo que intentamos buscar, qué es lo que tratamos de
descubrir. Es probable que la mayoría de nosotros busque algo
de felicidad y algo de paz; en un mundo sacudido por disturbios,
guerras, contiendas, luchas, deseamos un refugio donde
pueda haber algo de paz. Creo que eso es lo que casi todos
deseamos. Y así proseguimos, yendo de un dirigente a otro, de una
organización religiosa a otra, de un instructor a otro.

Ahora bien: ¿andamos en busca de la felicidad, o lo que buscamos
es alguna clase de satisfacción de la que esperamos obtener la
felicidad? Sin duda hay diferencia entre felicidad y satisfacción.
¿Podéis buscar la felicidad? Tal vez podáis hallar satisfacción: pero,
ciertamente, no podréis encontrar la felicidad. La felicidad, sin duda,
es una consecuencia; es una derivación de algo. Antes, pues, de
consagrar nuestra mente y corazón a algo que requiere gran dosis
de seriedad, de atención, de pensamiento, de cuidado, debemos
descubrir qué es lo que buscamos: si es felicidad o satisfacción.
Temo que la mayoría de nosotros busque satisfacción. Deseamos
estar satisfechos, deseamos hallar una sensación de plenitud al
final de nuestra búsqueda.

LA LIBERTAD PRIMERA Y ULTIMA

La liberiad primera y ultima es
considerado por muchos como el mejor
libro de Krishnamurti. Aldous Huxley
en su eselarecedor prólogo, se pregunta.
¿qué es exactamente lo que nos propone
el sabio hindú? Y la respuesta es que no
se trata de un sistema de creencias, ni de
un catálogo de dogmas, ni de un repertorio
de ideas, ni de una clase de yoga; lo esencial
es trascender los símbolos y alcanzar la
libertad de cada instante

Esta libertad surge con la superación del
ego, pero también de los "sistemas" de
pensamiento organizado.

Una y otra vez enseña Krishnamurti que la
esperanza está en el interior de cada ser humano,
no en los sislemas filosóficos ni en los credos
religiosos.

La verdad nunca puede ser la repetición de
una doctrina. «Cuando la verdad se repite,
deja de ser la verdad.» Por esto, incluso los
libros sagrados tienen poca relevancia. Es a
través del conocimiento propio y de la libertad
interior como se llega a la realidad. «Los hombres
de buena voluntad no deben tener formulas Lo
que importa no son las ideas sino la experiencia.
Hay una espontancidad trascendente en la
vida, una "realidad creadora", como la llama
Krishnamurti, que se revela cuando la mente
se coloca en estado de "alerta pasividad".

En La libertad primera y iltima se expone una
gran variedad de temas, como pueden ser el
sufrimiento, el miedo, la sexualidad, la envidia,
etc., pero siempre alrededor de un hilo conductor,
y apuntando a la más radical liberación.

LA LIBERTAD PRIMERA Y ÚLTIMA

PREFACIO
El hombre es un ser anfibio que vive a un tiempo en dos
mundos: el mundo de los hechos, y el mundo que él ha hecho;
el mundo de la materia, la vida y la conciencia, y el mundo de
los símbolos. En nuestro pensar utilizamos una gran variedad de
sistemas de símbolos: el lenguaje, las matemáticas, el arte
pictórico, la música, el ritual, etcétera. Sin tal sistema de símbolos no
habría arte, ni ciencia, ni filosofía, ni siquiera tendríamos los
rudimentos de la civilización; en otras palabras, descenderíamos a
la animalidad.

Los símbolos son, pues, imprescindibles. Pero, como tan claramente
demuestra la historia de todos los tiempos, los símbolos también
pueden tener consecuencias fatales. Consideremos.
por ejemplo, de un lado el ámbito de la ciencia, y de otro, el de
la política y la religión. El pensar, y actuar en consecuencia,
dentro de un grupo de símbolos nos ha permitido comprender y
hasta cierto punto dominar las fuerzas elementales de la naturaleza.
En cambio, el pensar, y actuar en consecuencia, dentro de
otro grupo de símbolos nos hace utilizar esas fuerzas como
instrumentos para el asesinato en masa y el suicidio colectivo. En
el primer caso los símbolos estuvieron bien escogidos, cuidadosamente
analizados y progresivamente adaptados a los hechos
que van surgiendo en la existencia física. En el segundo caso los
símbolos originalmente mal escogidos no han sido nunca sometidos
a riguroso análisis, ni tampoco se han ido modificando...