Claude Simon (1) (1913–2005)
Autor von Die Straße in Flandern
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Über den Autor
Claude Simon was born on October 10, 1913 in Tananarive, Madagascar. He was educated at the Collège Stanislas in Paris, Oxford University, Cambridge University, and the André Lhote Academy. He traveled extensively through Spain, Germany, the Soviet Union, Italy and Greece until he joined the mehr anzeigen French Army during World War II, where he was captured by the Germans but soon escaped to join the Resistance. After the war ended, he wrote several books including The Cheat, The Wind, and The Flanders Road. He received several awards including the prize of l'Express in 1961, the Médicis prize in 1967, and the Nobel Prize for Literature in 1985. He died in Paris France in July 6, 2005. (Bowker Author Biography) weniger anzeigen
Bildnachweis: Photo © ÖNB/Wien
Werke von Claude Simon
Zugehörige Werke
Die letzten Dinge Lebensendgespräche ; [Amos Oz; Ilse Aichinger; Günter Grass; Patrick Modiano; Ruth Klüger; Marcel… (2015) — Mitwirkender — 11 Exemplare
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Wissenswertes
- Rechtmäßiger Name
- Simon, Claude-Eugene-Henri
- Geburtstag
- 1913-10-10
- Todestag
- 2005-07-06
- Begräbnisort
- Paris, France
- Geschlecht
- male
- Nationalität
- France
- Land (für Karte)
- France
- Geburtsort
- Antananarivo, Madagascar
- Sterbeort
- Paris, France
- Wohnorte
- Perpignan, France
Salses, France - Ausbildung
- Collège Stanislas, Paris
André Lhote Academy, Paris - Berufe
- novelist
- Organisationen
- French Army (WWII)
French Resistance (WWII) - Preise und Auszeichnungen
- Nobel Prize (Literature, 1985)
Mitglieder
Diskussionen
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Rezensionen
Las Geórgicas von Claude Simon
La escena es la siguiente: en un cuarto de amplias dimensiones un personaje está sentado delante de una mesa de trabajo...
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Simon-Le-vent--Tentative-de-restitution-dun-retab...
> LE VENT, Tentative de restitution d'un retable baroque, par Claude Simon (Les éditions de minuit, 1957, Broché, 241 pages). — "Comme dans ces rêves où l'on passe subitement d'un endroit à l'autre, sans transition", Antoine Montès se retrouve un matin dans la ville que quitta sa mère, trente-cinq ans plus tôt, fuyant un mari indigne. Cet étrange fils prodigue, à l'allure invraisemblable, mélange de clochard fou et d'idiot, venu pour toucher l'héritage de son père, s'installe dans ce lieu de misère ; malgré l'aridité du pays, malgré le vent, ce vent mauvais, comme s'il "faisait aussi partie de cette tacite conjuration ourdie à la fois par les hommes et les éléments". Son oeil de photographe ose voir, à travers l'appareil toujours pendu à son cou, la vie de ces petites gens que son autre regard, vide, absent ne perçoit qu'à distance, comme celui d'un "Meursault" égaré dans le vent furieux du Midi.
On retrouve, dans le troisième roman de ce Prix Nobel de littérature (1985), les obsessions qui parcourent l'ensemble de son œuvre : les émotions discontinues et fragmentaires des hommes et leur profonde solitude, à la limite de la désolation.
—Laure Anciel, Amazon.fr… (mehr)
> LE VENT, Tentative de restitution d'un retable baroque, par Claude Simon (Les éditions de minuit, 1957, Broché, 241 pages). — "Comme dans ces rêves où l'on passe subitement d'un endroit à l'autre, sans transition", Antoine Montès se retrouve un matin dans la ville que quitta sa mère, trente-cinq ans plus tôt, fuyant un mari indigne. Cet étrange fils prodigue, à l'allure invraisemblable, mélange de clochard fou et d'idiot, venu pour toucher l'héritage de son père, s'installe dans ce lieu de misère ; malgré l'aridité du pays, malgré le vent, ce vent mauvais, comme s'il "faisait aussi partie de cette tacite conjuration ourdie à la fois par les hommes et les éléments". Son oeil de photographe ose voir, à travers l'appareil toujours pendu à son cou, la vie de ces petites gens que son autre regard, vide, absent ne perçoit qu'à distance, comme celui d'un "Meursault" égaré dans le vent furieux du Midi.
On retrouve, dans le troisième roman de ce Prix Nobel de littérature (1985), les obsessions qui parcourent l'ensemble de son œuvre : les émotions discontinues et fragmentaires des hommes et leur profonde solitude, à la limite de la désolation.
—Laure Anciel, Amazon.fr… (mehr)
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Simon-La-Route-des-Flandres/1591
> LA ROUTE DES FLANDRES, par Claude Simon (Minuit - 1982, Poche, 316 pages). — "Les peintres ont bien de la chance. Il suffit au passant d'un instant pour prendre conscience des différents éléments d'une toile." Claude Simon choisit donc pour "cadre", aussi limité que celui d'un tableau, quelques heures d'une nuit après la guerre, au cours de laquelle les époques et les événements se confondent dans la mémoire du cavalier Georges : "Le désastre de mai 1940, la mort de son capitaine à la tête d'un escadron de dragons, son temps de captivité, le train qui le menait au camp de prisonniers, etc." Le fil de cette longue et foisonnante remémoration demeure le décès du capitaine de Reixach : suicide ou mort accidentelle ? Georges devra remonter jusqu'à Corinne, la veuve de ce dernier, pour trouver peut-être une réponse.
"Description fragmentaire d'un désastre" était le premier titre de ce roman, un des plus lus de Claude Simon. On y retrouve une des préoccupations majeures de l'écrivain : "le cheminement même du temps, c'est-à-dire invisible immatériel sans commencement ni fin ni repère" et ses conséquences sur la pensée, à son tour déstructurée et inconsistante.
—Laure Anciel, Amazon.fr
> Par Adrian (Laculturegenerale.com) : Les 150 classiques de la littérature française qu’il faut avoir lus !
07/05/2017 - Un roman sur le passé qui revient en mémoire, où la trame narrative classique est sapée. Passé, présent et futur se mélangent dans une écriture sans ponctuation, constamment interrompue, reflétant la coexistence de mémoires qui s’entremêlent dans nos consciences.… (mehr)
> LA ROUTE DES FLANDRES, par Claude Simon (Minuit - 1982, Poche, 316 pages). — "Les peintres ont bien de la chance. Il suffit au passant d'un instant pour prendre conscience des différents éléments d'une toile." Claude Simon choisit donc pour "cadre", aussi limité que celui d'un tableau, quelques heures d'une nuit après la guerre, au cours de laquelle les époques et les événements se confondent dans la mémoire du cavalier Georges : "Le désastre de mai 1940, la mort de son capitaine à la tête d'un escadron de dragons, son temps de captivité, le train qui le menait au camp de prisonniers, etc." Le fil de cette longue et foisonnante remémoration demeure le décès du capitaine de Reixach : suicide ou mort accidentelle ? Georges devra remonter jusqu'à Corinne, la veuve de ce dernier, pour trouver peut-être une réponse.
"Description fragmentaire d'un désastre" était le premier titre de ce roman, un des plus lus de Claude Simon. On y retrouve une des préoccupations majeures de l'écrivain : "le cheminement même du temps, c'est-à-dire invisible immatériel sans commencement ni fin ni repère" et ses conséquences sur la pensée, à son tour déstructurée et inconsistante.
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