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Lädt ... Terres urbaines : Places, jardins et terres incultes dans la ville au Moyen Age2 | Keine | 5,250,702 | Keine | Keine | Après l’examen de l’eau et du feu à la fin du Moyen Âge (parus aux PUR), ce troisième volet est consacré à la terre, dans les limites de la ville, de ses faubourgs et à son arrière-pays économique et administratif. De larges espaces, libres de toute construction, s’opposent à la vision que chacun peut avoir d’un tissu urbain densément bâti à l’intérieur et aux abords d’une enceinte. Toute localité comporte des places, des terrains « vuydes ou ruyneuls », des clos de vigne, des champs cultivés, des prés, des carrières, des « rives » ou zones portuaires et quantité d’autres secteurs laissés à l’abandon. Une ville ne se conçoit pas sans des faubourgs semi-ruraux, sans cultures et sans des zones inhabitées nécessaires à l’existence des communautés d’habitants (marécages, grèves, palus, terrains d’élevage ou forêts). Les espaces libres qui peuvent dépasser les 30 à 40 % de la superficie urbaine, confèrent à beaucoup de villes du royaume de France et de ses grands fiefs aux XIVe et XVe siècles, un aspect rural très marqué. Ces espaces de passage sont également nécessaires à la défense, à la vie administrative dans le cadre d’une banlieue, à l’économie dans un hinterland, l’équivalent du contado des villes italiennes. Enfin, ces surfaces non aedificandi, ces lieux de rassemblement et de déplacement, sont indispensables à la vie sociale, permettent aux citadins de s’assembler, de tenir des réunions, de multiplier les activités ludiques et religieuses, les manifestations sportives comme la soule, les tournois et le jeu de paume. L’accueil des personnalités en visite, les fêtes, le charivari contribuent à donner aux lecteurs une vision bien différente de celle à laquelle nous ont habitués dans les travaux sur l’urbanisme. Cette synthèse sur un sujet peu connu repose sur l’examen d’archives multiformes, chroniques, œuvres littéraires, textes normatifs (édits, ordonnances, bans), comptabilités seigneuriales et municipales et est complétée par apports de l’archéologie, de…… (mehr) |
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Gebräuchlichster Titel |
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Originaltitel |
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Alternative Titel |
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Ursprüngliches Erscheinungsdatum |
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Figuren/Charaktere |
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Wichtige Schauplätze |
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Zugehörige Filme |
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Epigraph (Motto/Zitat) |
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Widmung |
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Erste Worte |
Die Informationen sind von der französischen Wissenswertes-Seite. Ändern, um den Eintrag der eigenen Sprache anzupassen. Avant-propos
L’importance des secteurs, restés libres ou non bâtis, publics ou privés, dans l’espace topographique, dans le paysage et l’univers culturel de nos villes, au terme des étapes d’un long développement, dépend de plusieurs facteurs physiques et humains : du terrain constructible ou marécageux, du site plat ou accidenté, du peuplement rapide ou espacé, de l’évolution à travers les dix siècles du Moyen Âge, des idées et des mentalités, d’autres circonstances ou contraintes. [...] Première partie. Terrains disponibles en ville
Chapitre 1. Places publiques, réseaux de communication, espaces libres, lieux privés
Évoquant le tissu des voies de circulation et de stationnement qui font partie du paysage d’une agglomération et du domaine communautaire, des auteurs d’ouvrages de synthèse (P. A. Février, B. Chevalier, A. Derville, J. Heers, A. Rigaudière…) et de monographies sur les villes concluent à la faible part des places dans le réseau de circulation des villes médiévales françaises. [...] | |
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Zitate |
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Letzte Worte |
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[...]. Les détenteurs de l’espace privé sont davantage soumis à des contraintes, à des alignements imposés (Aurillac, Nancy, Reims), à des restrictions de hauteur et de débordements sur la chaussée. Déjà se dessinent, à la fin du Moyen Âge, de grands ensembles civiques géométriques, de vastes lices qui annoncent les futures places d’armes (Vannes, Rennes), de nouveaux aménagements publics plus rationnels et décoratifs comme les fontaines de Rouen. (Zum Anzeigen anklicken. Warnung: Enthält möglicherweise Spoiler.) | |
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Hinweis zur Identitätsklärung |
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Verlagslektoren |
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Werbezitate von |
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Originalsprache |
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Anerkannter DDC/MDS |
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Anerkannter LCC |
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