Kepel examines the impact of global terrorism and the ensuing military operations to stem its tide. The ultimate battlefields for the democratization of Islamic societies are the Immigrant Muslim communities in the West.

Fitna commence, en gros, là ou Jihad finit : l'échec de l'islamisme radical et terroriste, qui ne peut prendre le pouvoir en séduisant la base, tente de prendre le pouvoir en effrayant les dirigeants en frappant "l'ennemi lointain", l'Occident. Sans doute plus abordable que Jihad, car sans doute plus "parlant" et contemporain, l'auteur décrypte la lutte pour le contrôle de l'Oumma, la communauté des croyants. Un livre que j'ai eu grand plaisir à lire, même si des fois il faut bien suivre, et garder bien sûr le recul et savoir bien analyser, et serrer les dents dans les passages où l'auteur a avalé un dico. J'ai bien aimé ce livre, que j'ai trouvé assez captivant, et contrairement à ce que j'ai pu lire de ci, de là, je n'ai pas trouvé à l'auteur de posture partisane. Seule la conclusion m'a semblé un peu fade mais y'a t'il une conclusion simple à ce problème compliqué ? ( )

This has one of the best accounts of how the US neoconservatues who got us into the war in Iraq first came together in "think tanks" in Washington and finally became part of the George W. Bush administration. It also makes the point that the Muslim world did not understand how this had happened.

Dé islam is de laatste jaren een van de belangrijkste onderwerpen van debat in Nederland. Maar voor de verscheidenheid en ontwikkelingen van het islamitisch denken, zelfs in radicale kringen, is weinig oog. Er is niet alleen sprake van jihad, strijd van (delen van) de islam tegen een externe tegenstander, er is ook fitna, oorlog binnen de islam.
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