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Lädt ... Hell Has No Limits (1966)von José Donoso
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Melde dich bei LibraryThing an um herauszufinden, ob du dieses Buch mögen würdest. Keine aktuelle Diskussion zu diesem Buch. Un mundo que es el infierno, donde se ponen al descubierto las falsas apariencias, la sordidez, la violencia y la miseria que lo agobia. Todo sucede alrededor del burdel de la Japonesita. Y de la Manuela, ese ambiguo y genial personaje, crisol de las pasiones y revelador de una falsa moral; cuestionador de la masculinidad y sus valores. En 1964, el escritor, periodista y profesor chileno José Donoso, llegó a México como invitado al Tercer Simposio de la Fundación Interamericana para las Artes. Fascinado con la cultura del país, decidió quedarse un tiempo, viviendo incluso en la casa de Carlos Fuentes. Dos años más tarde, publicaría la que sigue siendo su obra más celebrada, el libro que lo colocaría como uno de los principales exponentes del boom latinoamericano: El lugar sin límites (1966). Ambientada en un pequeño y olvidado pueblo de la zona central de Chile de nombre Estación El Olivo, la trama sigue a La manuela, un homosexual/travesti que administra un burdel junto a su hija La japonesita; ambas, esperan que la modernidad se presente en el lugar por medio de luz eléctrica, alegoría de una esperanza que nunca llegará. En esta novela corta, sin embargo, la tensión constante que se presenta desde el inicio es por un motivo mucho más oscuro: la llegada al pueblo de Pancho Vega, el sórdido macho que gusta de ir al prostíbulo para perturbar la paz física y emocional de La manuela. Las largas descripciones del entorno que hace Donoso (un polvoso infierno con olor a licor), junto con los cargados diálogos de las prostitutas que transmiten su hastío y rencor hacia los hombres, engullen a un lector que descubre una pasión encerrada entre Pancho y La manuela; un deseo que, al no encontrar posibilidad de existir ante la desaprobación y burla de la sociedad, detonará en una violencia descomunal con la negra noche como testigo. El lugar sin límites es una bellísima tragedia rural, un homenaje a todos los parajes y personajes olvidados de cualquier rincón de Latinoamérica; seres que viven con caretas, deseando que el siguiente día, sea menos duro que el anterior. A pesar de la decadencia humana que brota de sus páginas, cualquier persona que se acerque al libro deseará sentarse un momento en el tugurio, y observar a detalle las acciones de los personajes descritos; gente que aun y con todo, ama y vive, sueña y respira, mientras se pasea entre botellas vacías, pisos mugrientos y música deprimente. Je n'ai pas compris où l'auteur voulait en venir avec ce livre. Il est très plaisant à lire mais qu'est-ce que José Donoso voulait dire, je n'en sais rien. Voulait-il dénoncer (raconter) l'histoire des pauvres qui sont condamnés à être pauvre ou à le devenir encore plus ? Parlait-il plutôt de la domination (et le pouvoir de décider pour les autres) d'une personne sur tous les habitants du village ? Cela ne m'a pas semblé très clair car un peu trop feutré (pas assez virulent pour un auteur qui n'habitait plus au Chili au moment de l'écriture du livre) pour que j'arrive à le voir. Il parle bien à un moment cependant (il faut être honnête) du déroulement des élections pour que le riche du village soit élu sénateur. C'est édifiant comme description. Par contre, comme je le disais c'est une agréable pour la galerie de portrait et pour le style. Je ne suis jamais allée au Chili mais je m'imaginais le village comme un village où passe les dalton et le bordel ressemblant plutôt à un saloon. À cela, j'ai rajouté un mur qui tombe, de la moisissure car beaucoup d'humidité. Cela ne pas vraiment être comme chez les Dalton. Il faut que vous y rajoutiez de l'herbe, des vignes, de la forêt, une grande maison. Vous avez à peu près l'ambiance. Vous avez le transsexuel (je ne sais pas si c'est le bon mot mais c'est un homme qui se transforme en femme pour danser et faire la fête et qui semble plutôt aimer les hommes), la mère maquerelle psychorigide, les prostituées, les paysans qui boivent pour pouvoir profiter pleinement du bordel et des filles. C'est haut-en-couleur comme vous pouvez le constater. Le style est intéressant car pour de nombreux passages l'auteur nous livre les pensées de ses personnages, dans un style rapide et alerte. C'est un peu comme des transitions pour lui et aussi comme une manière d'accélérer le récit pour qu'il soit moins linéaire. keine Rezensionen | Rezension hinzufügen
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A reprint of the powerful novel by Chilean writers, José Donoso. Keine Bibliotheksbeschreibungen gefunden. |
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