Diese Seite verwendet Cookies für unsere Dienste, zur Verbesserung unserer Leistungen, für Analytik und (falls Sie nicht eingeloggt sind) für Werbung. Indem Sie LibraryThing nutzen, erklären Sie dass Sie unsere Nutzungsbedingungen und Datenschutzrichtlinie gelesen und verstanden haben. Die Nutzung unserer Webseite und Dienste unterliegt diesen Richtlinien und Geschäftsbedingungen.
Ergebnisse von Google Books
Auf ein Miniaturbild klicken, um zu Google Books zu gelangen.
Zum Inhalt: Etienne Lantier (seine Mutter ist Gervaise Macquart aus ), ein arbeitsloser Maschinist, strandet in einer kleinen Bergbaustadt in Nordfrankreich. Da er kein Geld mehr hat, nimmt er notgedrungen Arbeit in der Kohlengrube "Le Voreux" an. Bei der Familie Maheu findet er Unterkunft und verliebt sich in die Catherine, die älteste Tochter. Am Anfang ist Etienne nach der Arbeit zu erschöpft, aber nach dem er sich an die Arbeit gewöhnt hat, empört er sich immer mehr über die katastrophalen Arbeitsbedingungen in der Grube. Die Vorgesetzten nutzen jede Gelegenheit, um den Lohn der Arbeiter zu kürzen. Dabei verdienen die Arbeiter so wenig, das fast die ganze Familie in der Grube arbeiten muss, auch die älteren Kinder. Etienne kennt einen Sozialistenführer und begeistert sich immer mehr dafür. Als die Gesellschaft ein anderes Lohnmodell durchsetzen will, das in Wirklichkeit dazuführt, das die Arbeiter noch weniger verdienen werden, treten die Arbeiter in den Streik.
Von Anfang an beschreibt Zola auch hier wieder alles ausführlich. Nicht nur die Kohlegrube selber, sondern vor allem ihre Auswirkungen auf die Menschen. Blasse, magere Menschen. Schmutz. Krankheiten überall - hauptsächlich die "schwarze Bronchitis". Das wirkt noch extremer, weil auf der anderen Seite auch die Direktoren und Besitzer der Minen völlig anders dargestellt werden: das junge Mädchen, Tochter einer der Familien, die ein der Minen besitzt darf natürlich lange schlafen. Sie darf zum Frühstück eine heisse Schokolade trinken. Catherine, die nur wenig jünger ist, muss dagegen den Kaffee mehrmals aufbrühen - das Geld reicht nicht aus, um jedes Mal neuen Kaffee zu nehmen. Etienne ist zwar verliebt in Catherine, aber als sich ihr ein anderer Mann zuwendet, mischt er sich da nicht ein. Er nimmt es einfach hin. Auch Catherine nimmt es hin, das sie nun mit 15 Jahren einen Liebhaber hat - obwohl es eigentlich eine Vergewaltigung war. Aber so ist das halt, sagt sie sich. Am 1. Dezember treten die Arbeiter in den Streik. Sie haben vorher Geld gesammelt, aber die Streikkasse reicht nur für kurze Zeit. Die Maheus verpfänden langsam ihre ganze Einrichtung. Irgendwann ist nichts mehr da. Natürlich bekommen sie auch keine Kohle mehr geliefert. Langsam verhungern sie und es werden immer mehr. Trotzdem bleiben die Menschen noch immer ruhig, bis nach mehreren Wochen Arbeiter aus Belgien geholt werden, die die Kohle hauen sollen. Da entlädt sich die Verzweiflung der Hungernden und sie beginnen zu randalieren - das geht nicht ohne Tote ab. Die Grausamkeiten werden natürlich auch wieder in allen Einzelheiten beschrieben, wie schon zuvor die Verhungerten.
Bei Wikipedia wird das Buch als das Hauptwerk der Rougon-Macquart-Reihe geschildert. Ich habe noch nicht alle Bücher gelesen - mir fehlen noch drei - aber ich kann mir nicht vorstellen, das es noch mal etwas ähnlich bedrückendes, trostloses Buch gibt. Ich habe das Buch zwischendurch immer wieder zur Seite legen müssen, weil ich die Schilderungen zeitweise nicht ertragen konnte. ( )
Die Informationen stammen von der englischen "Wissenswertes"-Seite.Ändern, um den Eintrag der eigenen Sprache anzupassen.
Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves.
[translation by Havelock Ellis, 1894] Over the open plain, beneath a starless sky as dark and thick as ink, a man walked alone along the highway from Marchiennes to Montsou, a straight paved road ten kilometers in length, intersecting the beetroot-fields.
Zitate
Die Informationen stammen von der englischen "Wissenswertes"-Seite.Ändern, um den Eintrag der eigenen Sprache anzupassen.
— Longtemps, ah ! oui !… Je n'avais pas huit ans, lorsque je suis descendu, tenez ! juste dans le Voreux, et j'en ai cinquante-huit, à cette heure. Calculez un peu… J'ai tout fait là-dedans, galibot d'abord, puis herscheur, quand j'ai eu la force de rouler, puis haveur pendant dix-huit ans. Ensuite, à cause de mes sacrées jambes, ils m'ont mis de la coupe à terre, remblayeur, raccommodeur, jusqu'au moment où il leur a fallu me sortir du fond, parce que le médecin disait que j'allais y rester. Alors, il y a cinq années de cela, ils m'ont fait charretier… Hein ? c'est joli, cinquante ans de mine, dont quarante-cinq au fond ! (I, i)
[translation by Havelock Ellis, 1894] "Long? I should think so. I was not eight when I went down into the Voreux and I am now fifty-eight. Reckon that up! I have been everything down there; at first trammer, then putter, when I had the strength to wheel, then pikeman for eighteen years. Then, because of my cursed legs, they put me into the earth cutting, to bank up and patch, until they had to bring me up, because the doctor said I should stay there for good. Then, after five years of that, they made me carman. Eh? that's fine--fifty years at the mine, forty-five down below."
D’une voix ardente, il parlait sans fin. C’était, brusquement, l’horizon fermé qui éclatait, une trouée de lumière s’ouvrait dans la vie sombre de ces pauvres gens. L’éternel recommencement de la misère, le travail de brute, ce destin de bétail qui donne sa laine et qu’on égorge, tout le malheur disparaissait, comme balayé par un grand coup de soleil ; et, sous un éblouissement de féerie, la justice descendait du ciel. Puisque le bon Dieu était mort, la justice allait assurer le bonheur des hommes, en faisant régner l’égalité et la fraternité. Une société nouvelle poussait en un jour, ainsi que dans les songes, une ville immense, d’une splendeur de mirage, où chaque citoyen vivait de sa tâche et prenait sa part des joies communes. Le vieux monde pourri était tombé en poudre, une humanité jeune, purgée de ses crimes, ne formait plus qu’un seul peuple de travailleurs, qui avait pour devise: à chacun suivant son mérite, et à chaque mérite suivant ses œuvres. Et, continuellement, ce rêve s’élargissait, s’embellissait, d’autant plus séducteur, qu’il montait plus haut dans l’impossible. D’abord, la Maheude refusait d’entendre, prise d’une sourde épouvante. Non, non, c’était trop beau, on ne devait pas s’embarquer dans ces idées, car elles rendaient la vie abominable ensuite, et l’on aurait tout massacré alors, pour être heureux. Quand elle voyait luire les yeux de Maheu, troublé, conquis, elle s’inquiétait, elle criait, en interrompant Étienne : — N’écoute pas, mon homme ! Tu vois bien qu’il nous fait des contes… Est-ce que les bourgeois consentiront jamais à travailler comme nous ? (III, iii)
[translation by Havelock Ellis, 1894] With his enthusiastic voice he spoke on and on. The closed horizon was bursting out; a gap of light was opening in the sombre lives of these poor people. The eternal wretchedness, beginning over and over again, the brutalizing labour, the fate of a beast who gives his wool and has his throat cut, all the misfortune disappeared, as though swept away by a great flood of sunlight; and beneath the dazzling gleam of fairyland justice descended from heaven. Since the good God was dead, justice would assure the happiness of men, and equality and brotherhood would reign. A new society would spring up in a day just as in dreams, an immense town with the splendour of a mirage, in which each citizen lived by his work, and took his share in the common joys. The old rotten world had fallen to dust; a young humanity purged from its crimes formed but a single nation of workers, having for their motto: "To each according to his deserts, and to each desert according to its performance." And this dream grew continually larger and more beautiful and more seductive as it mounted higher in the impossible. At first Maheude refused to listen, possessed by a deep dread. No, no, it was too beautiful; it would not do to embark upon these ideas, for they made life seem abominable afterwards, and one would have destroyed everything in the effort to be happy. When she saw Maheu's eyes shine, and that he was troubled and won over, she became restless, and exclaimed, interrupting Étienne: "Don't listen, my man! You can see he's only telling us fairy-tales. Do you think the bourgeois would ever consent to work as we do?"
D'un élan, elle s'était pendue à lui, elle chercha sa bouche et y colla passionnément la sienne. Les ténèbres s'éclairèrent, elle revit le soleil, elle retrouva un rire calmé d'amoureuse. Lui, frémissant de la sentir ainsi contre sa chair, demie-nue sous la veste et la culotte en lambeaux, l'empoigna, dans un réveil de sa virilité. Et ce fut enfin leur nuit de noces, au fond de cette tombe, sur ce lit de boue, le besoin de ne pas mourir avant d'avoir eu leur bonheur, l'obstiné besoin de vivre, de faire de la vie une dernière fois. Ils s'aimèrent dans le désespoir de tout, dans la mort. Ensuite, il n'y eut plus rien. Étienne était assis par terre, toujours dans le même coin, et il avait Catherine sur les genoux, couchée, immobile. Des heures, des heures s'écoulèrent. Il crut longtemps qu'elle dormait ; puis, il la toucha, elle était très froide, elle était morte. Pourtant, il ne remuait pas, de peur de la réveiller. L'idée qu'il l'avait eue femme le premier, et qu'elle pouvait être grosse, l'attendrissait. D'autres idées, l'envie de partir avec elle, la joie de ce qu'ils feraient tous les deux plus tard, revenaient par moments, mais si vagues, qu'elles semblaient effleurer à peine son front, comme le souffle même du sommeil. Il s'affaiblissait, il ne lui restait que la force d'un petit geste, un lent mouvement de la main, pour s'assurer qu'elle était bien là, ainsi qu'une enfant endormie, dans sa raideur glacée. Tout s'anéantissait, la nuit elle-même avait sombré, il n'était nulle part, hors de l'espace, hors du temps. Quelque chose tapait bien à côté de sa tête, des coups dont la violence se rapprochait ; mais il avait eu d'abord la paresse d'aller répondre, engourdi d'une fatigue immense ; et, à présent, il ne savait plus, il rêvait seulement qu'elle marchait devant lui et qu'il entendait le léger claquement de ses sabots. Deux jours se passèrent, elle n'avait pas remué, il la touchait de son geste machinal, rassuré de la sentir si tranquille. Étienne ressentit une secousse. Des voix grondaient, des roches roulaient jusqu'à ses pieds. Quand il aperçut une lampe, il pleura. Ses yeux clignotants suivaient la lumière, il ne se lassait pas de la voir, en extase devant ce point rougeâtre qui tachait à peine les ténèbres. Mais des camarades l'emportaient, il les laissa introduire, entre ses dents serrés, des cuillerées de bouillon. Ce fut seulement dans la galerie de Réquillart qu'il reconnut quelqu'un, l'ingénieur Négrel, debout devant lui ; et ces deux hommes qui se méprisaient, l'ouvrier révolté, le chef sceptique, se jetèrent au cou l'un de l'autre, sanglotèrent à grands sanglots, dans le bouleversement profond de toute l'humanité qui était en eux. C'était une tristesse immense, la misère des générations, l'excès de douleur où peut tomber la vie. Au jour, la Maheude, abattue près de Catherine morte, jeta un cri, puis un autre, puis un autre, de grandes plaintes très longues, incessantes. Plusieurs cadavres étaient déjà remontés et alignés par terre : Chaval que l'on crut assommé sous un éboulement, un galibot et deux haveurs également fracassés, le crâne vide de cervelle, le ventre gonflé d'eau. Des femmes, dans la foule, perdaient la raison, déchiraient leurs jupes, s'égratignaient la face. Lorsqu'on le sortit enfin, après l'avoir habitué aux lampes et nourri un peu, Étienne apparut décharné, les cheveux tout blancs ; et on s'écartait, on frémissait devant ce vieillard. La Maheude s'arrêta de crier, pour le regarder stupidement, de ses grands yeux fixes. (VII, v)
[translation by Havelock Ellis, 1894] With a sudden impulse she hung on to him, seeking his mouth and pressing her own passionately to it. The darkness lighted up, she saw the sun again, and she laughed a quiet laugh of love. He shuddered to feel her thus against his flesh, half naked beneath the tattered jacket and trousers, and he seized her with a reawakening of his virility. It was at length their wedding night, at the bottom of this tomb, on this bed of mud, the longing not to die before they had had their happiness, the obstinate longing to live and make life one last time. They loved each other in despair of everything, in death. After that there was nothing more. Étienne was seated on the ground, always in the same corner, and Catherine was lying motionless on his knees. Hours and hours passed by. For a long time he thought she was sleeping; then he touched her; she was very cold, she was dead. He did not move, however, for fear of arousing her. The idea that he was the first who had possessed her as a woman, and that she might be pregnant, filled him with tenderness. Other ideas, the desire to go away with her, joy at what they would both do later on, came to him at moments, but so vaguely that it seemed only as though his forehead had been touched by a breath of sleep. He grew weaker, he only had strength to make a little gesture, a slow movement of the hand, to assure himself that she was certainly there, like a sleeping child in her frozen stiffness. Everything was being annihilated; the night itself had disappeared, and he was nowhere, out of space, out of time. Something was certainly striking beside his head, violent blows were approaching him; but he had been too lazy to reply, benumbed by immense fatigue; and now he knew nothing, he only dreamed that she was walking before him, and that he heard the slight clank of her sabots. Two days passed; she had not stirred; he touched her with his mechanical gesture, reassured to find her so quiet. Étienne felt a shock. Voices were sounding, rocks were rolling to his feet. When he perceived a lamp he wept. His blinking eyes followed the light, he was never tired of looking at it, enraptured by this reddish point which scarcely stained the darkness. But some mates carried him away, and he allowed them to introduce some spoonfuls of soup between his clenched teeth. It was only in the Réquillart gallery that he recognized someone standing before him, the engineer, Négrel; and these two men, with their contempt for each other--the rebellious workman and the sceptical master--threw themselves on each other's necks, sobbing loudly in the deep upheaval of all the humanity within them. It was an immense sadness, the misery of generations, the extremity of grief into which life can fall. At the surface, Maheude, stricken down near dead Catherine, uttered a cry, then another, then another--very long, deep, incessant moans. Several corpses had already been brought up, and placed in a row on the ground: Chaval, who was thought to have been crushed beneath a landslip. a trammer, and two hewers, also crushed, with brainless skulls and bellies swollen with water. Women in the crowd went out of their minds, tearing their skirts and scratching their faces. When Étienne was at last taken out, after having been accustomed to the lamps and fed a little, he appeared fleshless, and his hair was quite white. People turned away and shuddered at this old man. Maheude left off crying to stare at him stupidly with her large fixed eyes.
«Ger-mi-nal, Ger-mi-nal, Ger-mi-nal...», este era el grito que el 5 de octubre de 1902 una delegación de mineros franceses coreaba al arrojar sus ramos de rosas rojas sobre la tumba de Émile Zola: cinco mil parisienses habían recorrido las calles de París con el féretro del escritor que había abanderado el enfrentamiento con el sector más conservador de la sociedad francesa a raíz del conocido como «affaire Dreyfus». Émile Zola, el padre del naturalismo, describe en Germinal, de una forma descarnada, el mundo sombrío y mísero de la mina, retratando a un grupo de personas que vive ahogado en condiciones infrahumanas y por cuyas venas Zola hace correr el odio y el rencor, seres humanos que se extenúan trabajando en medio de una terrible frustración. Los sueños de juventud, la búsqueda del amor, todo choca contra la realidad siniestra de la mina, que se cobra vidas y apenas permite vivir a los que logran salir de su oscuro pozo. Pero cuando falta el pan, cuandpo el sueño se convierte en pesadilla, los mineros se alzan contra las fuerzas de la destrucción: la huelga hace brotar de todos y cada uno lo mejor y lo peor del ser humano. Con Germinal, Zola escribe una epopeya radicalmente moderna: la denuncia de una realidad se convierte en mito.
Letzte Worte
Die Informationen stammen von der englischen "Wissenswertes"-Seite.Ändern, um den Eintrag der eigenen Sprache anzupassen.
Des hommes poussaient, une armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons, grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait bientôt faire éclater la terre.
Am Anfang ist Etienne nach der Arbeit zu erschöpft, aber nach dem er sich an die Arbeit gewöhnt hat, empört er sich immer mehr über die katastrophalen Arbeitsbedingungen in der Grube. Die Vorgesetzten nutzen jede Gelegenheit, um den Lohn der Arbeiter zu kürzen. Dabei verdienen die Arbeiter so wenig, das fast die ganze Familie in der Grube arbeiten muss, auch die älteren Kinder.
Etienne kennt einen Sozialistenführer und begeistert sich immer mehr dafür. Als die Gesellschaft ein anderes Lohnmodell durchsetzen will, das in Wirklichkeit dazuführt, das die Arbeiter noch weniger verdienen werden, treten die Arbeiter in den Streik.
Von Anfang an beschreibt Zola auch hier wieder alles ausführlich. Nicht nur die Kohlegrube selber, sondern vor allem ihre Auswirkungen auf die Menschen. Blasse, magere Menschen. Schmutz. Krankheiten überall - hauptsächlich die "schwarze Bronchitis".
Das wirkt noch extremer, weil auf der anderen Seite auch die Direktoren und Besitzer der Minen völlig anders dargestellt werden: das junge Mädchen, Tochter einer der Familien, die ein der Minen besitzt darf natürlich lange schlafen. Sie darf zum Frühstück eine heisse Schokolade trinken. Catherine, die nur wenig jünger ist, muss dagegen den Kaffee mehrmals aufbrühen - das Geld reicht nicht aus, um jedes Mal neuen Kaffee zu nehmen.
Etienne ist zwar verliebt in Catherine, aber als sich ihr ein anderer Mann zuwendet, mischt er sich da nicht ein. Er nimmt es einfach hin.
Auch Catherine nimmt es hin, das sie nun mit 15 Jahren einen Liebhaber hat - obwohl es eigentlich eine Vergewaltigung war. Aber so ist das halt, sagt sie sich.
Am 1. Dezember treten die Arbeiter in den Streik. Sie haben vorher Geld gesammelt, aber die Streikkasse reicht nur für kurze Zeit. Die Maheus verpfänden langsam ihre ganze Einrichtung. Irgendwann ist nichts mehr da. Natürlich bekommen sie auch keine Kohle mehr geliefert. Langsam verhungern sie und es werden immer mehr.
Trotzdem bleiben die Menschen noch immer ruhig, bis nach mehreren Wochen Arbeiter aus Belgien geholt werden, die die Kohle hauen sollen. Da entlädt sich die Verzweiflung der Hungernden und sie beginnen zu randalieren - das geht nicht ohne Tote ab. Die Grausamkeiten werden natürlich auch wieder in allen Einzelheiten beschrieben, wie schon zuvor die Verhungerten.
Bei Wikipedia wird das Buch als das Hauptwerk der Rougon-Macquart-Reihe geschildert. Ich habe noch nicht alle Bücher gelesen - mir fehlen noch drei - aber ich kann mir nicht vorstellen, das es noch mal etwas ähnlich bedrückendes, trostloses Buch gibt. Ich habe das Buch zwischendurch immer wieder zur Seite legen müssen, weil ich die Schilderungen zeitweise nicht ertragen konnte. ( )