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Der Teufel und der liebe Gott. Drei Akte und elf Bilder. (1951)

von Jean-Paul Sartre

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The devil and the good lord and two other plays
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This was a solid play about Götz von Berlichingen set in the air of Sartre. He manages to convey his motions and pass through a lot of philosophical terrain, with the religion of the Middle Ages and German sentiments, herein. Overall, the play was a good one, fulfilling, and illuminating for the type of effect that Sartre wished to convey. I consider it good reading for those interested in Sartre and Nobel laureates.

4 stars. ( )
  DanielSTJ | Jan 24, 2020 |
"Cette pièce peut passer pour un complément, une suite aux Mains sales, bien que l'action se situe quatre cents ans auparavant. J'essaie de montrer un personnage aussi étranger aux masses de son époque, qu'Hugo, le jeune bourgeois, héros des Mains sales, l'était, et aussi déchiré. Cette fois, c'est un peu plus gros. Gotz, mon héros, incarné par Pierre Brasseur, est déchiré, parce que, bâtard de noble et de paysan, il est également repoussé des deux côtés. Le problème est de savoir comment il lâchera l'anarchisme de droite pour aller prendre part à la guerre des paysans... J'ai voulu montrer que mon héros, Gotz, qui est un genre de franc-tireur et d'anarchiste du mal, ne détruit rien quand il croit beaucoup détruire. Il détruit des vies humaines, mais ni la société, ni les assises sociales, et tout ce qu'il fait finit par profiter au prince, ce qui l'agace profondément. Quand, dans la deuxième partie, il essaie de faire un bien absolument pur, cela ne signifie rien non plus. Il donne des terres à des paysans, mais ces terres sont reprises à la suite d'une guerre générale, qui d'ailleurs éclate à propos de ce don. Ainsi, en voulant faire l'absolu dans le bien ou dans le mal, il n'arrive qu'à détruire des vies humaines... La pièce traite entièrement des rapports de l'homme à Dieu, ou, si l'on veut, des rapports de l'homme à l'absolu.

Goetz : je prendrai la ville.
Catherine : Mais pourquoi ?
Goetz : Parce que c'est mal.
Catherine : Et pourquoi faire le Mal ?
Goetz : Parce que le Bien est déjà fait.
Catherine : Qui l'a fait ?
Goetz : Dieu le Père. Moi, j'invente.

Création en 1951 au Théâtre-Antoine, mise en scène de Louis Jouvet, avec Pierre Brasseur, Jean Vilar, R.J. Chauffard, Maria Casarès.
  Haijavivi | Jun 12, 2019 |
La pièce se déroule dans l'Allemagne du XVIe siècle, lors de la révolte des paysans contre l'Église. Gœtz, un bâtard d'une famille noble, a participé, puis trahi la rébellion de Worms et a tué son frère qui la dirigeait. Désobéissant aux ordres de l'archevêque, il décide de raser la ville par simple envie de faire le Mal et de défier Dieu. Pour sauver le clergé menacé par Nasty qui dirige une armée de pauvres, Heinrich, modeste curé, livre la ville à Gœtz. Ce dernier qui s'apprête à ordonner le massacre est convaincu par Heinrich que le Bien est plus difficile à faire en ce monde que le Mal. Par défi, Gœtz décide de se consacrer uniquement à faire le bien. Il libère sa maîtresse-otage-putain Catherine, qui mourra de chagrin ; il distribue ses terres aux paysans, cela déclenchera une guerre ; il se fait le prophète de l'amour, ses adeptes non-violents mourront en martyrs. Il se retire avec Hilda dans la forêt où il mène une vie d'ermite fou, jusqu'à la visite de Heinrich qui vient lui comme conclus juger les actes de Gœtz. Mais Gœtz affirme que Dieu est mort et que l'homme est seul. Il finit par accepter de diriger l'armée de Nasty. ( )
  vdb | Dec 20, 2010 |
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AutorennameRolleArt des AutorsWerk?Status
Sartre, Jean-PaulAutorHauptautoralle Ausgabenbestätigt
Aumüller, UliÜbersetzerCo-Autoreinige Ausgabenbestätigt
Dessì, FeliceÜbersetzerCo-Autoreinige Ausgabenbestätigt
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