Storia della morte in Occidente è una raccolta di articoli e saggi scritti da Philippe Ariès sulla morte, riguardo alla quale, in quanto storico e medievalista, ha inventato un nuovo ambito di studi, relativo al come si muore. Per Ariès, infatti, anche gli atteggiamenti nei confronti della morte sono un costrutto sociale e variano nel tempo e nello spazio.

Questo libro si concentra sull’Occidente, in particolare dal Medioevo e dalla nascita dell’individualismo fino agli anni Sessanta del Novecento (la prima edizione, infatti, è del 1974). Il nostro atteggiamento nei confronti della morte è ulteriormente evoluto, ma già si vedevano le prime avvisaglie di dove stavamo andando, quindi Storia della morte in Occidente è una lettura interessante per ricostruire la nostra visione della morte.

L’unico difetto del libro è che, essendo una collezione di saggi e articoli, finisce per essere ripetitivo in alcune sue affermazioni e non ha una struttura lineare, oltre a non essere particolarmente approfondito in ogni suo aspetto. Per approfondire gli studi di Ariès, vi consiglio di rivolgervi ad altre sue opere. ( )

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Aries-Essais-sur-lhistoire-de-la-mort-en-Occident...
> BAnQ (Dussault J.-C., La presse, 29 novembre 1975, D. Arts et lettres, p. 2)
> Psycha Analyse : Bibliographie sélective sur la mort

> Saint-Arnaud Jocelyne. Bibliographie indicative sur la « bonne mort »
In: Frontières, Volume 20, numéro 1, automne 2007, p. 119–120. … ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/017966ar

> Boissière Jean. Philippe Ariès : Essais sur l'histoire de la mort en Occident, du moyen âge à nos jours, 1975.
In: Dix-huitième Siècle, n°10, 1978. Qu'est-ce que les Lumières ? pp. 473-474. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/dhs_0070-6760_1978_num_10_1_1206_t1_0473_0000_2

> Girard Alain. Aries Philippe — L'homme devant la mort.
In: Population, 33ᵉ année, n°2, 1978. pp. 471-472. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1978_num_33_2_16750

> Comment mourir, par Diane Hardy
Une entrevue avec un historien des mentalités, Philippe Ariès, qui a étudié surtout celles qui entourent la mort.
In: Québec science, 1978, Mai, pp. 21-24

> ESSAIS SUR L’HISTOIRE DE LA MORT EN OCCIDENT DU MOYEN ÂGE À NOS JOURS, de Philippe Ariès - Editions du Seuil, 1975, 225 pp. — La mort est-elle la fin finale, le terme ultime au-delà duquel il n'y a rien ? Mis à part l’absurdité de ce “rien", on s'aperçoit en feuilletant l'histoire de l'humanité, que celle-ci a toujours refusé de le croire, et que le refus de la mort est en fait un désir d’immortalité qui se trompe de vie. Mais ce passage d’une forme de vie à l'autre, quelle qu'elle soit, est si mystérieux et si auréolé d'incertitude et d’angoisse, que les humains l’entourent de beaucoup de soins, d'un nombre et d’une variété de rituels aussi étonnants que compréhensibles. Au Moyen âge la mort était acceptée en Occident, et vécue par le mourant et les siens comme un grand départ transatlantique: ce n’est que récemment que le mourant a été comme privé de sa mort, a cause notamment du délire des thérapeutes qui font songer à ces avocats qui, plaidant une mauvaise cause, indisposent le tribunal par leur prolixité et leur redondance, mais calculent que le client en aura ainsi pour son argent.
La mort inversée, le malade, le médecin et la famille, le culte des morts, la famille dans les testaments et les tombeaux, les miracles des morts, richesse et pauvreté devant la mort, iconographie et thèmes macabres, la mort dans la littérature, la mort apprivoisée, les attitudes devant la mort, tels sont les thèmes abordés par Philippe Ariès, dans cette brillante série d'essais, dominée par une constatation riche de conséquences: le refus et l’horreur de la mort sont une création récente, et datent environ du 17ème siècle. Avant cela, la mort était entièrement apprivoisée, familière. Le spectacle des morts n’impressionnait pas plus les vivants que leur propre mort. Au point qu'en 1231, le Concile de Rouen dut même interdire de danser au cimetière ou à l’église sous peine d'excommunication. A lire absolument. Ce livre est rempli de choses qu’on ne dit jamais ou qu’on tait, et qu’il est important de savoir aujourd’hui alors que nous avons tout à réévaluer. (C.A.)
—Mainmise, 1976, avril, (p. 43)

> Depuis le milieu des années 80, des centaines de livres, pratiques et théoriques, sont parus sur l’accompagnement des personnes très malades ou en fin de vie. Nous ne pouvons en citer que quelques-uns (les “scènes” 1, 2, 4 et 5 de ce dossier sont tirées de "Réapprivoiser la mort", de Patrice van Eersel, Livre de Poche).

Signalons aussi : L’art d’accompagner notre grand départ [Mots-clés (35)]

*Source: Nouvelles Clés

O autor só fala na morte do homem. Na maior parte das referências percebe-se que este homem é genérico, noutras, porém, vê-se muito claramente que significa o género masculino da humanidade. Esta distinção é tento maior, quanto mais se recua no tempo. Isto é, se nos dias de hoje as mulheres não se distinguem dos homens na morte, como morriam as mulheres no tempo de Rolando? ( )

An interesting examination of how we understand death and its implications. ( )