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The Ultimate Medicine: Dialogues with a Realized Master

von Sri Nisargadatta Maharaj, Robert Powell (Herausgeber)

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802332,845 (4.71)Keine
The Ultimate Medicine is not for those who like their spirituality watered down, but for serious students searching for awareness. Sri Nisargadatta Maharaj (1897-1981) lived and taught in a small apartment in the slums of Bombay. A realized master of the Tantric Nath lineage, he supported himself and his family by selling cheap goods in a small booth on the streets outside his tenement for many years. His life exemplified the concept of absolute nonduality of being. In this volume, Maharaj shares the highest truth of nonduality in his own unique way. His teaching style is abrupt, provocative, and immensely profound, cutting to the core and wasting little effort on inessentials. His terse but potent sayings are known for their ability to trigger shifts in consciousness, just by hearing or reading them."The point is that man freed from his fetters is morality personified. Such a man therefore does not need any moralistic injunctions in order to live righteously. Free a man from his bondage and thereafter everything else will take care of itself. On the other hand, man in his unredeemed state cannot possibly live morally, no matter what moral teaching he is given. It is an intrinsic impossibility, for his very foundation is immorality. That is, he lives a lie, a basic contradiction: functioning in all his relationships as the separate entity he believes himself to be, whereas in reality no such separation exists. His every action therefore does violence to other 'selves' and other 'creatures,' which are only manifestations of the unitary consciousness. So Society had to invent some restraints in order to protect itself from its own worst excesses and thereby maintain some kind of status quo. The resulting arbitrary rules, which vary with place and time and therefore are purely relative, it calls 'morality,' and by upholding this man-invented 'idea' as the highest good–oftentimes sanctioned by religious 'revelation' and scriptures–society has provided man with one more excuse to disregard the quest for liberation or relegate it to a fairly low priority in his scheme of things."… (mehr)
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LA MEDICINA SUPREMA

Conversaciones con Sri Nisargadatta Maharaj del 1 de enero de 1979 al 15
de julio de 1980, en las que nos enseña que el “yo soy” contiene el mundo entero.
”Todos los caminos conducen a la irrealidad. Los caminos son creaciones dentro del ámbito del conocimiento. Por consiguiente, los caminos y los movimientos no pueden transportarle a la Realidad, porque su función es enredarse en la dimensión del conocimiento, mientras que la Realidad es anterior a él.

Ahora, usted sabe que existe; usted mora en la semilla de la sensación de ser", aunque, finalmente, incluso esta "sensación de ser" misma ha de ser trascendida. Todo está contenido en esa semilla, de la misma manera que toda la encina está contenida en la bellota. De forma similar, todo está contenido en esa consciencia: el mundo entero está ahí y este cuerpo está también presente.

El "yo soy" mismo es el mundo; el "yo soy" contiene el mundo entero. Ésa debe ser su convieción. Esta cognitividad contiene este presunto mundo real, de forma análoga a cuando en un sueño usted siente que está despierto, pero realmente no lo está ,su mundo, en ese momento, es el mundo del sueño. Esta convicciórn debe hacerse patente. La verdad es que no hay ninguna diferencia entre la consciencia del sueño y la consciencia de la vigilia, aunque parezcan ser enormemente diferentes; toda la consciencia es una.
  FundacionRosacruz | May 22, 2018 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Maharaj-Lultime-guerison/362793

> L'ULTIME GUÉRISON, L'ENSEIGNEMENT ULTIME DE NISARGADATTA. — Une aubaine et une opportunité que cette parution chez Almora d'un ouvrage publié en 1999, en tout cas une excellente initiative. Nisargadatta y livre les derniers enseignements quelques mois avant sa mort, les références à son épuisement, à sa fatigue parsèment d'ailleurs l'ouvrage, entre pauses et séances écourtées.
Ses réponses y sont comme à l'accoutumée directes et sans détours, avec cependant plus de force et de vigueur, parfois comme s'il était lassé d'entendre à longueur d'années les mêmes questions, d'avoir à expliquer encore et encore la simplicité de l'Advaita à la condition de se poser LA question, et non des questions inutiles et pompeuses.
Les lecteurs qui souhaitent découvrir ce grand maître disparu en 1981 devront se tourner auparavant vers d'autres livres avant d'entamer celui-ci, tant il pourrait paraître dur et brutal par moments, mais par moments seulement ; il sentait probablement sa fin approcher et le temps lui manquer pour se perdre en conjonctures intellectuelles et conversations oiseuses ; il est vrai qu'il ne manquait jamais d'occidentaux pour poser des questions alambiquées...
On trouve également un Nisargaddata qui dispense d'ultimes recommandations dans la sadhana des chercheurs. Un format de poche, mais un grand livre digne de Je suis. (Daniel ROBERT)
le 9 juil. 2015 (Sur Amazon.fr) 5/5

> L'ULTIME GUÉRISON, de Sri Nisargadatta Maharaj (1997, Ed. de Mortagne, 250 p.). — Sri Nisargadatta Maharaj (1897-1981) a vécu et dispensé son enseignement à Bombay où des milliers de personnes sont venues l’écouter en procession ininterrompue. Ces écrits proposent un témoignage de conversations privées données durant la dernière année de la vie du maître. Son style abrupt et provoquant, tout comme celui des antiques maîtres zen, va au coeur du sujet. Dans ce volume, traduit de l’américain par Jean Bouchart d’Orval, Nisargadatta offre des instructions avancées à l’intention des aspirants spirituels. L’Ultime guérison propose de puissants antidotes à l’errance : il s’adresse donc aux aspirants sérieux. « Toutes les souffrances dont vous parlez n’ont débuté que lorsque la conscience individuelle s’est emparée de vous. (…) Tout ce que vous avez à faire, c’est comprendre la nature de la conscience individuelle et sentir que cela ne vous concerne pas. »
3e millénaire, (45), Automne 1997

> L'ULTIME GUÉRISON, de Sri Nisargadatta Maharaj (2015, Almora, 270 p.). — Nous saluons la réédition de cet ouvrage : il présente des entretiens entre Nisargadatta Maharaj et certains de ses disciples, qui se sont tenus la dernière année de sa vie. Ce sage indien, mort en 1981, eut un grand impact sur la découverte et la transmission à beaucoup de chercheurs de la non-dualité. Son enseignement est direct : il s’agit d’aller directement à la source du « concept primordial : je suis ». Le Soi véritable transcende toute image mentale et tout concept, qu’il soir primordial ou provenant d’une pensée usuelle fonctionnant par comparaison avec ce qui est déjà connu. Or, le Soi est au-delà du connu. Aussi Maharaj rejette-t-il d’emblée toute idée d’un moi individuel, ce qui coupe court à tout ce qui participe de l’identification à une quelconque entité corps-mental. « Vous vous fiez au corps que vous êtes maintenant et vous ne comprenez pas son origine. Voilà pourquoi vous croyez être ce corps. Pour cela, vous devez méditer. La méditation n’est pas le fait de ce corps-mental méditant en tant qu’individu, mais cette conscience qui médite sur elle-même. Alors la conscience peut dévoiler son propre commencement. »
3e millénaire, (117), Automne 2015

> PROFOND ET PERCUTANT ! — Ces enseignements de Maharaj sont particulièrement édifiants et détenteurs de directives "explosives" destinées à la dissolution de l'ego créateur du monde phénoménal.
sans conteste, cet ouvrage nous offre une merveilleuse opportunité du retour vers soi en toute "simplicité"!
A lire, à comprendre, à assimiler et surtout à expérimenter dans une totale ouverture et avec une disposition d'écoute sans bornes ...
Adieu les concepts ... Simplement ÊTRE.
—chamar3, le 08 août 2010 (Sur Rakuten.com)

> Nisargadatta Maharaj (1897-1981) est l’un des maîtres spirituels les plus importants du XXe siècle. Des milliers de gens de par le monde sont allés le voir à Bombay, en Inde, où il a dispensé son enseignement pendant une quarantaine d’années.
La plupart des entretiens présentes dans L'ullime guérison ont été donnés durant la dernière année de la vie de ce grand sage. Ce sont donc ses derniers enseignements.
Il n’y est pas question de guérison physique ou psychologique, mais de guérison de l'individu dans sa totalité. Du fait que nous nous identifions à notre corps et à notre esprit, nous nous imaginons que c’est là notre nature réelle. Or. selon l’auteur, notre véritable nature est une Présence consciente impersonnelle, une sorte d’écran sur lequel apparaît toute la création, y compris le corps et l’esprit.
L’identification au corps et à l’esprit donne naissance à une « personne » qui, conséquemment, se sent séparée de tout ce qui l’entoure. Cette séparation serait à l’origine de toute souffrance. En effet, en l’absence du sentiment d’être « quelqu’un » séparé de tout, « qui » pourrait souffrir ?
Cet ouvrage s’adresse aux aspirants spirituels sérieux. Bien que l’on y retrouve plusieurs mots en sanskrit, le lexique à la fin facilite de beaucoup la lecture du livre.
C’est un livre à lire lentement pour pouvoir absorber et intégrer toute la sagesse qu’il contient.
Bonjour dimanche, 16 février 1997 : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2633233
  Joop-le-philosophe | Nov 19, 2016 |
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Powell, RobertHerausgeberHauptautoralle Ausgabenbestätigt
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The Ultimate Medicine is not for those who like their spirituality watered down, but for serious students searching for awareness. Sri Nisargadatta Maharaj (1897-1981) lived and taught in a small apartment in the slums of Bombay. A realized master of the Tantric Nath lineage, he supported himself and his family by selling cheap goods in a small booth on the streets outside his tenement for many years. His life exemplified the concept of absolute nonduality of being. In this volume, Maharaj shares the highest truth of nonduality in his own unique way. His teaching style is abrupt, provocative, and immensely profound, cutting to the core and wasting little effort on inessentials. His terse but potent sayings are known for their ability to trigger shifts in consciousness, just by hearing or reading them."The point is that man freed from his fetters is morality personified. Such a man therefore does not need any moralistic injunctions in order to live righteously. Free a man from his bondage and thereafter everything else will take care of itself. On the other hand, man in his unredeemed state cannot possibly live morally, no matter what moral teaching he is given. It is an intrinsic impossibility, for his very foundation is immorality. That is, he lives a lie, a basic contradiction: functioning in all his relationships as the separate entity he believes himself to be, whereas in reality no such separation exists. His every action therefore does violence to other 'selves' and other 'creatures,' which are only manifestations of the unitary consciousness. So Society had to invent some restraints in order to protect itself from its own worst excesses and thereby maintain some kind of status quo. The resulting arbitrary rules, which vary with place and time and therefore are purely relative, it calls 'morality,' and by upholding this man-invented 'idea' as the highest good–oftentimes sanctioned by religious 'revelation' and scriptures–society has provided man with one more excuse to disregard the quest for liberation or relegate it to a fairly low priority in his scheme of things."

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