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Le choeur des femmes von Martin Winckler
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Le choeur des femmes (Original 2009; 2009. Auflage)

von Martin Winckler, Martin Winckler (Auteur)

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886306,254 (3.74)3
Je m'appelle Jean Atwood. Je suis interne des ho pitaux et major de ma promo. Je me destine a la chirurgie gyne cologique. Je vise un poste de chef de clinique dans le meilleur service de France. Mais on m'oblige, au pre alable, a passer six mois dans une minuscule unite de ℗±Me decine de La Femme℗ , dirige e par un barbu mal de grossi qui n'est me me pas gyne cologue, mais ge ne raliste ! S'il s'imagine que je vais passer six mois a son service, il se trompe lourdement. Qu'est-ce qu'il croit ? Qu'il va m'enseigner mon me tier ? J'ai rec ʹu une formation hors pair, je sais tout ce que doit savoir un gyne cologue chirurgien pour ope rer, re parer et reconstruire le corps fe minin. Alors, je ne peux pas - et je ne veux pas - perdre mon temps a e couter des bonnes femmes e pancher leur c¿ur et raconter leur vie. Je ne vois vraiment pas ce qu'elles pourraient m'apprendre. (Source : 4e me de couv.)… (mehr)
Mitglied:Emilie
Titel:Le choeur des femmes
Autoren:Martin Winckler
Weitere Autoren:Martin Winckler (Auteur)
Info:POL (2009), Broché, 602 pages
Sammlungen:Deine Bibliothek
Bewertung:***
Tags:Keine

Werk-Informationen

Le choeur des femmes von Martin Winckler (2009)

Keine
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(…) même les mauvaises raisons peuvent être respectables.
(p. 633, Chapitre 8, “Donjon”, Partie 8, “Mercredi et après (Lento)”).

J’ai découvert Martin Winckler à ses débuts d’écrivain. La Maladie de Sachs n’avait pas laissé insensible, dans un sens ou dans l’autre, et pour ma part j’avais été de celles qui avaient aimé ce livre et ce qu’il dit d’un médecin généraliste qui essaie de bien faire son travail, sans se retrancher derrière le jargon scientifique et ses artifices.
Martin Winckler a toujours beaucoup à dire, notamment dans les domaines qui lui tiennent à cœur, l’IVG, la gynécologie, la fin de vie, etcetera. Mais il ne se renouvelle pas dans la forme, et ses livres deviennent trop prévisibles, ce qui nuit au propos. Ici, je n’ai pas été longue à découvrir qui était en réalité Jean Atwood, on n’est pas défini par son prénom… Et son changement d’attitude, sa capacité à ouvrir les yeux étaient courus d’avance. Donc bon, à la fin, j’ai finalement refermé le livre en pensant : « Tout ça pour ça… »
Mais il y a des belles pages tout de même, j’ai aimé notamment sa description de l’écoute, de l’empathie. Savoir écouter, savoir s’abstenir de juger, des qualités qui ne sont pas des faiblesses et qui sont bien plus difficiles à développer que ce que l’on pourrait penser de prime abord. Accepter, malgré sa position de pouvoir, de ne pas tenter d’asséner ses vérités, savoir justement faire la part entre ses principes et ses vérités personnelles, et l’exercice de sa compétence professionnelle.
Alors cela va peut-être paraître ridicule, mais au moment de cette lecture, j’étais en pleine réflexion sur ces mêmes questions, dans un tout autre domaine professionnel puisque j’étais alors maîtresse dans une classe de CE1 dans un milieu urbain peu favorisé économiquement et marqué par de grandes différences culturelles avec ma propre expérience. Je réfléchissais alors beaucoup à l’accueil des parents et à la façon d’engager le dialogue avec eux. Non comme une mère qui a ses propres principes et élève ses petits ratons dans ce sens, mais comme une professionnelle de l’enseignement, qui doit apporter aux parents des éléments de réponse à leurs questions pour qu’ils élèvent leurs enfants selon leurs propres principes. Entre égalité des chances et liberté d’éducation, la zone de contact est ténue et c’est ce que je cherchais.
Alors ce livre n’est pas du tout là-dessus. Il est sur les femmes, leur corps, leurs rêves, il est parfois un peu caricatural dans son approche, l’histoire est cousue de fil blanc, mais à moi, elle m’a apporté, parce qu’elle a nourri ma réflexion sur un tout autre sujet. C’est donc une note de lecture complètement hors sujet que je fais, mais c’est la note de la lectrice que je suis. Je ne saurais dire maintenant si j’ai aimé ce livre, si je le conseille, probablement pas si ce sont les questions médicales qui vous intéresse, certainement pas si c’est une bonne histoire que vous cherchez. Mais essayez, on ne sait jamais, peut-être y trouverez-vous vous aussi quelque chose que vous n’êtes pas venu y chercher.
  raton-liseur | Jan 5, 2019 |
J'avais découvert Martin Winckler il y a de très nombreuses années avec "La maladie de Sachs" et j'avais été scotché par cette histoire et surtout l'art maîtrisé dans la construction du roman qui permettait de raconter et de décrire un médecin généraliste en creux sans jamais lui donner la parole, uniquement par le discours des autres, les patients, son entourage, les habitants du quartier.
Grâce à Babelio et au challenge multi-défi 2018, j'ai re-découvert cet auteur avec "Le choeur des femmes". Et c'est de nouveau, un vrai choc de lecture. Une histoire au départ assez simple, une jeune et brillante interne très sûre d'elle même et de sa valeur qui finalement va se révéler fragile par son histoire personnelle, se heurte à un médecin, chef d'une petite unité dédiée aux femmes et leur sexualité et dans laquelle elle doit y passer six mois de stage. Au fil des journées de consultations, d'échanges, d'écoutes, elle découvre "les bonnes femmes", leur problèmes, leur doutes, leur questionnements, leur forces, leur désespoirs, ce qui finalement va la métamorphoser.
Cette histoire n'est en fait que le fil conducteur, l'alibi du roman. Avec beaucoup de délicatesse tout en disant les choses mais toujours avec beaucoup de tendresse, Martin Winckler aborde des thèmes autour des femmes et leur sexualité, l'enfantement, la contraception, mais également les problèmes autour du genre. Il nous plonge dans l'univers de la médecine hospitalière avec ses seigneurs, les chefs de cliniques, les internes, et une structure qui finie par oublier le patient, ici les patientes, tellement convaincu du bienfondé de leur savoir. Il dénonce les relations compliquées et intéressées entre les laboratoires et le corps des médecins. Et tellement d'autres thèmes abordés qui donnent une profondeur et une puissance assez incroyable.
Certes, la démonstration est certainement poussée, extrême, tous les gynécologues ne sont pas aussi pervers, et obsédés, les chirurgiens ne sont pas tous des bouchers ou des docteurs Mengele. On pourra regretter que parfois l'histoire tourne au manichéisme et que la chute finale est un peu exagérée, même si je m'y suis laissé prendre (même à soixante balais on peu être un peu fleur bleue ...). Le propos du texte n'est pas celui-là.
Le titre du roman donne l'objectif : donner la parole aux femmes, raconter la multiplicité et la complexité de ce que peut-être la sexualité féminine dans une société qui cherche à codifier, classer, et lorsque cela ne rentre pas re-cadrer, interdire ou rejeter.
Martin Winckler, nous amene également à réfléchir sur nos propres idées préconçues qui sont remises en question par des retournements de situation Par exemple, ce n'est qu'à la page 48 du roman que l'on comprend.... (surprise à découvrir !)
La force du texte tient à sa structure. C'est un roman, mais également une immense enquête documentaire, un essai sociologique. Jean Atwood et sa métamorphose, on notera le clin d'oeil à Margaret Atwood et son texte "la servante écarlate", est le fil rouge d'un grand texte rythmé par des poèmes, des aphorismes, des monologues de patientes racontant leur histoire, des extraits de rapport et de forum internet. Le texte démarre sur un mode assez comique avec les ruminations et les colères de Jean lors de sa première journée de stage, et petit à petit, sa transformation devient dense, dramatique. Un magnifique et bouleversant roman. ( )
  folivier | May 26, 2018 |
Histoire de la transformation d'une jeune interne d'arriviste à humaniste. Un très beau témoignage sur le métier de médecin et une autre approche de la condition féminine. ( )
  Lhiscock | Oct 27, 2013 |
Un auteur sympathique, véritable amoureux des femmes, cinéphile, amateur de jazz et de musicals, mais sa trop grande facilité à pisser la copie l'a conduit à accoucher d'un livre à lire très vite et à oublier de même. Deux excellents moments toutefois : les courriels des patientes et le portrait de la visiteuse de laboratoire médical. ( )
  marievictoire | May 4, 2011 |
Bien sûr, l'auteur se sert de ce roman pour faire passer ses idées sur la médecine d'aujourd'hui... Ce qui du coup n'apporte pas un récit très réussi sur la forme... Mais rien que le sujet est important ! Quelle femme ne se sentira pas concernée par ces questions sur la gynécologie, la contraception, et le rapport qu'elles entretiennent avec "leur" médecin ?
Et mine de rien, entre deux pages, on apprend deux-trois choses.
http://ouistilit.blogspot.fr/2012/05/le-choeur-des-femmes-de-martin-winckler.htm... ( )
  addy | Oct 11, 2010 |
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Le docteur est pressé, le soignant est patient
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