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> LA PROMESSE DE L’ANGE, de Violette Cabesos, Frédéric Lenoir - Éd. Albin Michel. — Prix des Maisons de la Presse 2004
J’ai dévoré ce livre en deux jours, complètement fasciné par l’intrigue, ébloui par l’érudition, happé par le suspense hallucinant de ce roman historique dont je ne vois que deux équivalents : Le Roman de la rose de Umberto Ecco et Les piliers de la terre de Ken Follet. Que ceux qui les ont lus comprennent et se précipitent. Et que les autres me fassent confiance : si vous aimez ce genre de fresque à la fois épique et initiatique, vous serez transporté dans un fabuleux moment de lecture, qui met hors du temps tout en faisant réfléchir sur le temps.
Johanna, une jeune femme archéologue d’aujourd’hui, est habitée depuis l’enfance par d’étranges rêves de crimes commis dans un monastère au Moyen Âge. À la fin de chacun de ses songes, cette phrase énigmatique : "Il faut fouiller la terre pour accéder au ciel." Johanna tente de trouver la clef de ses visions par des fouilles archéologiques dans la célèbre abbaye du Mont-Saint-Michel. Basé sur la structure même de ce haut lieu voici donc un thriller qui se passe sur dix siècles de distance et se dévore avec passion tant la psychologie des personnages et les aléas de l’histoire nous maintiennent dans un suspense de plus en plus haletant jusqu’au final, absolument surprenant. (Marc de SMEDT)
—Nouvelles Clés

the firt half of the book is a very good mixture of historical fiction with a connection to the present time. then in the second half of the book it is geeting a little bit out of control and too many additonal people and events during the 17 and 1800s and it feel confusing and unimportant to the basic story. it felt like the author was trying to feel pages. the ending inside the grotto was good but the last chapter with Johanna and the angel felt like a bad hollywood movie. ( )

El fascinante y misterioso mundo de las construcciones románicas revive en nuestros días a través de un enigma que la protagonista de este magnético thriller histórico, una joven arqueóloga, deberá descifrar. La cripta milenaria de una abadía francesa oculta la desgraciada historia de un monje decapitado, cuyo descubrimiento desvelará tramas inquisitoriales y provocará, también en el presente, nuevos asesinatos rituales

Une écriture multiple et parfaitement adaptée au(x) récit(s), des personnages différents (dont une archéologue exaltée et égocentrique ainsi qu'un moine amoureux), des rappels historiques efficaces et bien intégrés dans l'histoire ...

L'intrigue est bien menée (ni trop embrouillée ni trop simpliste). Bref, un des meilleurs livres qu'il m'ait été donné de lire depuis qq temps ! Et une formidable envie de découvrir le Mont Saint Michel ^^ !! ( )

IXème siècle, Mont-Saint-Michel. Frère Roman, maître d'oeuvre de la grande abbatiale montoise, s'éprend de la belle guérisseuse Moira, qui, ce qui est plus, se refuse à nier les liens qui l'unissent à ses racines celtes. S'ensuit un drame qui aura des répercussions tout au long des siècles a venir.

De nos jours. Grâce à un manuscrit trouvé sur un chantier de Cluny, Johanne, une jeune archéologue, apprend l'histoire de Roman. Fasciné par ce récit et se sentant très proche de ce moine mort depuis plus de 1000 ans, elle se rend sur les lieux pour y mener sa propre enquête...

J'ai dévoré ce livre écrit à quatre mains, un mélange un peu sauvage de thriller ésothérique, roman historique et romance, à qui il arrive de frôler le surnaturel... et qui évoque des réminiscences du Nom de la Rose, des Piliers de la Terre, et du DVC. Évidemment il s'agit du "brain candy" à l'état pur, il ne s'agit pas aucunement de la grande littérature, mais cela n'empêche qu'il s'agit d'un livre prenant, intelligent et bien écrit. Et alors que les personnages "modernes" n'ont pas d'intérêt particulier, je dois avouer que l'histoire de Roman et Moira m'a vraiment touchée. Bref, ce n'est pas un livre inoubliable, mais on passe un très bon moment.

Une jolie citation:
Les trois piliers de mon existence ont toujours été le silence, la liturgie et les livres, explique-t-il. La voix des livres est parfois assourdissante, mais j'ai toujours aimé les notes dont elle me remplissait la tête, car c'est la complainte des hommes affranchis du temps... ( )