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> HAKUIN - Moi, Bouilloire à portée de main - Ed l'Originel. — 1749 : Publication de l'Ortegama. Mais le titre est demeuré "incompréhensible" jusqu'à aujourd'hui. Nous savons simplement que Hakuin avait ainsi pris l'habitude d'appeller sa bouilloire bien aimée. L'éditeur a donc traduit "l'Orategama" par : Moi, Boulloire à portée de main car, toujours placée auprès de Hakuin, elle fut le témoin de ses pensées et de ses actions quotidiennes. En décembre 1768 il meurt à 84 ans. Son zen n'est pas celui, professionnel, du moine, mais s'étend au Samouraï et au Laïc en les faisant plus se communiquer entre eux. Ainsi le zen de Hakuin et plus adapté à la civilisation chimique et industrielle que le zen traditionnel. Il est un authentique témoignage, dans cette philosophie spiritualiste bouddhiste, d'un pont essentiel entre vie de méditation et vie active.La Bouilloire est le 1er tome de 5 ouvrages à venir.
—Nouvelles Clés, (22), Mars/Avril 1992, (p. 81)

> Hakuin, Ortegama tome I : MOI, BOUILLOIRE À PORTÉE DE MAINS ;
Id., Ortegama tome II : lâcher de mains au bord du précipice.
Cet ouvrage (2 tomes) nous présente un des grands textes de la spiritualité Zen, écrit par Hakuin (1685-1768). Celui-ci - un des plus grands maîtres Zen du Japon - nous exhorte à une pratique du Zen adaptée au quotidien, à la vie active et sociale. Pour lui, seules une vie attentive (« la contemplation intérieure est essentielle, c’est à dire la culture » - de la terre intérieure, s’entend) et une recherche énergique (« le maintien de la conscience authentique est de l’exercice véritable ») peuvent nous amener à « voir en sa propre essence », c’est à dire à s’éveiller.
*1993 - Éd. l'Originel
—3e millénaire, (30), Hiver 1993

> L’incompréhension et l’ironie de l’honorable lecteur de culture gréco-latine doit s’effacer au fil de ses pages pour s’élever, comme par envoûtement, vers les hauteurs révélées de la conscience authentique »
—Les Amis de l’Orient

> Le Zen de Hakuin semble particulièrement intéressant pour nous, car plus adapté à la civilisation économique et industrielle d’aujourd’hui que le Zen traditionnel »
—Terre du Ciel ( )