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Lädt ... Wie später ihre Kindervon Nicolas Mathieu
Books Read in 2022 (4,435) Lädt ...
Melde dich bei LibraryThing an um herauszufinden, ob du dieses Buch mögen würdest. Keine aktuelle Diskussion zu diesem Buch. Anthony and his cousin sneak away to another beach where he meets his first crush, Stephanie, and her friends. It goes through the teenage years of Anthony, Stephanie, and Hacine, a Morrocan, living in France. as they grow from teenagers to adulthood. The book shows the cycle of poverty from parents and children. Hacine due to being African realizes he will never have money. Anthony joins the military, gets injured, and ends up poor like his parents. Stephanie gets an education and lives in a better neighborhood. as possible a better life with more money. received this book from Edelweiss for free in exchange for an honest review. The book is a simple plot. It gets confusing as it goes back and forth between the main characters, their parents and other minor characters in their individual stories. The book was interesting but had too many characters and was long.. After reading the book, you do become invested in the lives of the main characters as they figure out what to do with their lives. Agosto de 1992 en el este de Francia: un valle olvidado, unos altos hornos extinguidos, un lago y el calor canicular de la tarde. Anthony tiene catorce años y, por puro aburrimiento, acaba robando, junto a su primo, una canoa para ir curiosear a la famosa playa nudista de la orilla de enfrente. Allí lo que le espera es el primer amor, el primer verano, el que marca todo lo que le sucederá después. Así se inicia en el drama de la vida. Este libro es la novela de un valle, de una era y de la adolescencia; es el relato político de una juventud que tiene que encontrar su propio camino en un mundo agonizante. Cuatro veranos, cuatro momentos, desde "Smells like teen spirit" al Mundial de fútbol de 1998, para relatar unas vidas que transcurren a toda velocidad en esa Francia intermedia, la de las ciudades medianas y las zonas residenciales, entre el aislamiento rural y el hormigón de los polígonos. La Francia de Johnny Hallyday, la de los pueblos que se divierten en las atracciones de feria y se enfrentan en los concursos de televisión; la de los hombres que se consumen en el tajo y las mujeres enamoradas que se marchitan a los veinte años. Un país en la retaguardia de la globalización, atrapado entre la nostalgia y el declive, la decencia y la rabia. Nicolas Mathieu a écrit un roman ample et affûté, plus abouti que son roman précédent déjà prometteur (Aux animaux la guerre). Il parvient habilement à mettre en scène et à dépeindre deux générations : celles de quelques jeunes et celle de leurs parents, dans un territoire ouvrier désargenté de l’est de la France, au début des années 90. Les aspirations de la jeunesse, la découverte de la sexualité, les hostilités, les jalousies, les inégalités… C’est un livre sur toutes les batailles utiles et inutiles que l’on peut mener, que ce soit dans sa vie personnelle, dans le cercle familial et dans son environnement professionnel. Puisqu’il s’agit d’arriver à trouver sa place, la question du rapport à l’autre est constante. La sexualité, décrite de manière particulièrement circonstanciée dans le livre, occupe une bonne place dans le roman. Elle est constitutive de la place qu’occupe chacun et s’impose comme un symbole de lutte ; Houellebecq ne désapprouverait pas. Le regard que portent les femmes sur les hommes en matière de sexualité est souvent très aiguisé, et venant de la part d’un homme, il surprend par sa justesse et son humilité. La narration, bien maîtrisée, a fortiori face à l’amplitude des thèmes que le récit embrasse, est empreinte de beaucoup de réalisme et de véracité, tant dans les actions que dans les dialogues. En revanche, il est dommage que ces derniers, particulièrement réussis, fassent appel aux vocabulaire et expressions de cette dernière décennie et non à ceux de la période décrite (début des années 90), ce qui ne manque pas de donner un coup de canif à l’éclat de la véracité recherchée et par ailleurs obtenue. « Leurs enfants après eux », un beau titre grave, inéluctable sur le caractère transgénérationnel et l’héritage de son milieu familial, pour ceux qui peinent et se débattent sur un territoire qui n’est pas loin de ressembler à une cage. Et un roman qui, contrairement à d’autres livres précédemment couronnés, mérite largement la récompense du prix Goncourt. keine Rezensionen | Rezension hinzufügen
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Nicolas Mathieu, ausgezeichnet mit dem Prix Goncourt 2018, schreibt "eine große Gesellschaftschronik in der Tradition Emile Zola". Virginie Despentes Ein Ort in der Provinz, im Osten Frankreichs. Stillgelegte Industrie. Unerträgliche Hitze. Eine Gruppe Jugendliche, ohne viel zu tun, die ihre Sexualität entdecken, Bier trinken, Moped fahren oder dealen. Langeweile. Konflikte mit und zwischen den Eltern. Die Sehnsucht nach einem anderen Leben. Nicolas Mathieu schreibt über die am Rande Liegengelassenen. Über vier Sommer begleitet Wie später ihre Kinder Anthony, Hacine und ihre Freunde beim Erwachsenwerden in einer Welt der Reihenhaussiedlungen und Durchschnittsstädte - einer Welt, in der ihnen nichts geschenkt wird und an der sie dennoch hängen. Ein großer Gesellschaftsroman über das vergessene Frankreich der 1990er, voller Leben und erzählerischer Kraft. Keine Bibliotheksbeschreibungen gefunden. |
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Google Books — Lädt ... GenresMelvil Decimal System (DDC)843.92Literature French and related languages French fiction Modern Period 21st CenturyKlassifikation der Library of Congress [LCC] (USA)BewertungDurchschnitt:
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A Berlin, un mur était tombé et la paix, déjà, s’annonçait comme un épouvantable rouleau compreseur. Dans chaque ville que portait ce monde désindustrialisation et univoque, dans chaque bled déchu, des mômes sans rêve écoutaient maintenant ce groupe de Seattle qui s’appelait Nirvâna. Ils se laissaient pousser les cheveux et t’épanchaient de transformer leur vague à l’âme en colère, leur déprime en décibels. Le paradis était perdu pour de bon, la révolution n’aurait pas lieu : il ne restait plus qu’a faire du bruit. (P65)
Le petit moteur crépitait rageusement dans les ruelles. Sur son passage, les gens ne voyaient rien qu’une silhouette maigre, les deux bras filiformes sortis d’un t-shirt extra-large. Aussitôt, ils tiraient de cette vision et de la gêne occasionnée des conclusions politiques. (P83)
Depuis que les usines avaient mis la clef sous la porte, les travailleurs n’étaient plus que du confetti. Foin des masses et des collectifs. L’heure désormais était à l’individu, à l’intérimaire, à l’isolat. Et toutes ces miettes d’emplois satellitaient sans fin dans le grand vide du travail où se multipliaient une ribambelle d’espace divisés, plastiques et transparents : bulles, box, cloisons, vitrophanies.. (p277)
Au travail comme ailleurs, les idées reçues gouvernaient qui ne servaient qu’a enrober, s’intoxiquer de bonheur pour ne pas crever de l’évidence des faits. (P511)
Et les choses finalement avaient repris un cours admissible après le grand creux de la crise. Encore que la crise, ce n’était plus un moment. C’était une position dans l’ordre des choses. Un destin. Le leur. (P547) ( )