> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Gurdjieff-Gurdjeff-parle-a-ses-eleves/433403
> Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4812495g
> Scribd : https://fr.scribd.com/doc/71603738/Gurdjieff-parle-a-ses-eleves
> 3e millénaire : https://www.revue3emillenaire.com/blog/premiere-initiation-par-g-i-gurdjieff/
> Un article de la revue Sens public : https://id.erudit.org/iderudit/1044399ar
> iPapy : http://ipapy.blogspot.com/2009/01/gi-gurdjieff.html

> L'âme, c'est le but de toutes les religions, de toutes les écoles. Mais ce n'est qu'un but, une possibilité ; ce n'est pas un fait. L'homme ordinaire n'a ni âme, ni volonté. […] L'enfant ne naît jamais avec une âme. L'âme ne peut être acquise qu'au cours de la vie. Et encore c'est un grand luxe réservé à un petit nombre. La plupart des gens passent toute leur vie sans âme, sans maître. Pour la vie ordinaire, une âme n'est pas du tout nécessaire.
—Gurdjieff : Gurdjieff parle à ses élèves

> La clef de tous les arts anciens est perdue, perdue depuis de nombreux siècles déjà. C'est pourquoi il n'existe plus d'art sacré, d'art qui incarne les lois de la Grande Connaissance […] Aujourd'hui, il n'y a plus de créateurs. Les "prêtres" actuels de l'art ne créent plus, ils imitent. […] L'art sacré a disparu mais l'auréole qui entourait ses serviteurs subsiste. Toutes les banalités sur l'étincelle divine, le talent, le génie, la création, l'art sacré sont sans fondements. Ce sont des anachronismes. […] Pour qui possède la connaissance, faire des chaussures peut être un art sacré mais, sans la connaissance, tous les prêtres de l'art moderne ne valent pas un [bon] savetier.
—Gurdjieff (vers 1915) in : Gurdjieff parle à ses élèves

> Vœltzel René. G.-I. Gurdjieff, Gurdjieff parle à ses élèves, 1985.
In: Revue d'histoire et de philosophie religieuses, 66e année n°2, Avril-juin 1986. p. 254. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/rhpr_0035-2403_1986_num_66_2_4867_t1_0254_0000_2

> Et, toujours au Rocher, GURDJIEFF PARLE À SES ÉLÈVES, comptes rendus de quelques-unes de ces séances que G.I.G. tenait presque chaque soir et où il enseignait l'éveil : "il n'y a ici ni Russes, ni Anglais, ni Juifs, ni Chrétiens. Il n'y a que des hommes poursuivant un même but, devenir capables d'être."
In: Question de n°61, 1985 – Tibet, une culture en exil. p.123 (Lectures par Robert Amadou)

> GURDJIEFF PARLE À SES ÉLÈVES de G.I. Gurdjieff. — Le plus clair exposé in vivo de l’enseignement du maitre : “Il faut une énorme somme de travail pour détruire la carapace d'habitudes vicieuses déjà cristallisées.” Éd. du Rocher. (Albert SARALLIER)
—Nouvelles Clés, (12), Juillet/Août 1990, (p. 45)

> « Votre perpétuelle agitation nerveuse fait sentir à chacun, consciemment ou inconsciemment, que vous n'avez aucune autorité, que vous êtes un pauvre type. En remuant sans cesse comme vous le faites, vous ne pouvez être quelqu'un. La première chose à faire pour vous est d'arrêter cette agitation. Que ce soit votre but, votre dieu […]. Après cela, vous pourrez peut-être acquérir de l'attention. »
—Gurdjieff parle à ses élèves, G.I. Gurdjieff (Ed. Rocher, 1985)

> Rien ne s’obtient sans effort soutenu et persévérant. Toujours remettre TOUT ce que l’on sait en question et surtout SE remettre en question soi-même. Voir combien nous sommes « dépendants » de nos habitudes automatiques : nous mouvoir, parler, manger, lire, marcher, entendre, etc., nos « j’aime et je n’aime pas » qui déterminent nos comportements. Il faut réaliser que nous sommes esclaves d’un tyran ignoré : notre propre « moi », notre ego. Ce « moi » n’est pas l’ÊTRE. Combien d’hommes existent et meurent un jour sans l’avoir jamais su… Comme l’écrivait G.I. Gurdjieff :
« Vous verrez que, dans la vie, vous recevez exactement ce que vous donnez. Votre vie est le miroir de ce que vous êtes, elle est à votre image […] Votre appréciation de vous-même vous aveugle ! Elle est le plus grand obstacle à une vie nouvelle. Il faut franchir cet obstacle, ce seuil avant d’aller plus loin. C’est le test qui divise les hommes en deux sortes : “ l’ivraie et le bon grain ” […] Vous verrez que ce n’est pas facile. Et il faut payer cher. Pour les mauvais payeurs, les paresseux, les parasites, il n’y a pas d’espoir. Il faut payer de soi-même par des efforts sincères, désintéressés. Plus vous serez prêts à payer sans vous ménager, sans tricher, sans aucune falsification, plus vous recevrez. Et dès lors vous ferez connaissance avec votre nature. Et vous verrez
toutes les ruses, toutes les malhonnêtetés auxquelles elle recourt pour ne pas payer comptant. Parce qu’il faut payer avec vos théories gratuites, avec vos convictions enracinées, avec vos conventions, vos préjugés, vos “ ça me plaît ” et “ ça ne me plaît pas ”. Sans marchander, honnêtement, sans faire semblant. […] Essayez d’accepter l’idée que vous n’êtes pas ce que vous croyez être, que vous vous estimez trop, donc que vous vous mentez à vous-même. Que vous vous mentez toujours. Observez sans parti pris, en acceptant pour un temps cette idée du mensonge. Si vous observez de cette manière, en payant de vous-même sans vous apitoyer, en dormant toutes vos “ prétendues ” richesses pour un moment de réalité, peut-être verrez-vous que vous êtes autre que ce que vous croyez être. Vous verrez que vous êtes deux. Celui qui n’est pas, mais qui prend la place et le rôle de l’autre. Et celui qui est, mais si faible, si inconsistant, qu’à peine apparu, il disparaît immédiatement. Il ne supporte pas le mensonge. Le mensonge le fait défaillir. Il ne lutte pas, il ne résiste pas. Il est vaincu d’avance. Apprenez à regarder jusqu’à ce que vous ayez vu vos deux natures, jusqu’à ce que vous ayez vu le mensonge, l’imposture en vous. Lorsque vous aurez vu vos deux natures, ce jour-là, en vous, la Vérité sera née. » (Extrait des Entretiens de Gurdjieff avec ses élèves, Éd. du Rocher. … ; (Source),
cité dans: Jeanne Guesné, Le 3e souffle, Albin Michel (1995), pp. 88-89

> GURDJIEFF PARLE À SES ÉLÈVES, Par G.I. Gurdjieff. — Trente ans après sa mort, Gurdjieff est reconnu aujourd'hui comme un grand maître spirituel tel qu'il en apparaît dans l'histoire de l'humanité à des époques de transition. Voyant la direction que prenait la civilisation moderne, il s'était donné comme tâche d'éveiller ses contemporains à la nécessité d'un développement intérieur qui leur ferait prendre conscience du sens réel de leur présence sur terre. Ce livre rassemble quelques éléments de la parole du maître. Cette parole malgré son apparente simplicité a encore maintenant la vertu d'éveiller chacun à l'essentiel. On peut y puiser des conseils de vie précieux. Ed. Stock. (Coll. Monde ouvert), 359 p.
—Le nouvelliste, 28 mars 1981 ( )

PERSPECTIVAS DESDE EL MUNDO REAL CONVERSACIONES EN MOSCU, ESSENTUKI, BERLIN, LONDRES, PARIS, NUEVA YORK Y CHICAGO, SRGUN FUERON RECORDADAS POR SUS ALUMNOS

Perspectivas desde el mundo real contiene una cuidadosa seleccion de intercambios y charlas del periodo comprendido entre 1914 y 1930. Estos apuntes han sido reunidos por algunos alumnos, dotados de una memoria excepcional, que estuvieron presentes en las reuniones que se celebraban casi todas las noches alrededor de Gurdjieff y que se esforzaban posteriormente por reconstruir lo que habian escuchado. La fidelidad de estas notas a la palabra de su maestro ha sido reconocida por muchas personas que estuvieron presentes en las reuniones.Se incluye, ademas, un texto fundamental, Vislumbres de la Verdad, muy antiguo ya que data de 1915: es el relato que hace un alumno ruso de su primer encuentro con Gurdjieff. En cuanto a los aforismos que cierran la obra, estaban inscritos en las paredes del Study House de Prieure d'Avon, en Fontainebleau, al sur de Paris, donde Gurdjieff habia establecido su Instituto para el desarrollo armonico del hombre.Las posibilidades del hombre son inmensas. Ustedes no pueden ni siquiera tener una idea de lo que un hombre es capaz de alcanzar. Pero nada se puede alcanzar en el sueño. En la conciencia de un hombre dormido, sus ilusiones, sus"sueños", se mezclan con la realidad. El hombre vive en un mundo subjetivo del cual le es imposible escapar. Esta es la razon por la cual nun...