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Lädt ... Die Deichgräfin (1931)von Marie Gevers
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Melde dich bei LibraryThing an um herauszufinden, ob du dieses Buch mögen würdest. Keine aktuelle Diskussion zu diesem Buch. Ce roman se passe sur les rives de l’Escault. Le père de Suzanne, dernier comte des digues vient de mourir; temporairement celle-ci prend la suite. Nous la suivons durant une année, celle où sa vie va se décider. Les tourments de Suzanne, enfant choyée, prise entre les contraintes imposées par une bourgeoisie locale et ses sentiments. Ces gens de l’Escault "Qui disent rarement oui ou non" et qui arrangent les mariages au mieux des intérêts des familles. Ou pour qui, un mensonge (soit, par omission!) au nom du profit ou de la terre, n’est pas un pêché! La richesse de la région provient de deux sources: l’osier et les briques, donc tout est bon pour agrandir le domaine familial. Suzanne peut-elle briguer le poste de "Comte des digues", nul ne doute de ses compétences, mais une femme peut-elle être élue ? Les personnages sonnent juste, il nous semble les connaître. Suzanne est foncièrement humaine, elle aimerait se marier mais elle est retenue par une éducation stricte dans laquelle les barrières sociales sont primordiales. Une de ses cousines ose rompre ses fiançailles, Suzanne l’approuve mais, hésite pour elle-même "Que ne suis-je semblable à Maria". Deux hommes vivent dans son entourage, lequel la vie lui destine ? Triphon était quasiment l’associé de son père. Bel homme, il vit dans la demeure familiale, mais il n’est qu’un travailleur. Suzanne a un fort penchant pour lui, mais ses manières hautaines mettent le jeune homme dans l’embarras. Triphon part en Angleterre laissant Suzanne désemparée, dans le travail et dans ses aspirations personnelles. Il espère devenir un "Monsieur" et pouvoir épouser Suzanne à son retour. Max Larix, qui vient d’hériter de "schorres*" représente certes l’étranger au village, mais il est socialement acceptable au yeux de la famille et de l’entourage de Suzanne. En plus c’est un homme bon et cultivé amateur de nature, mais il a pour projet de partir au Congo. Sa famille à l’insu de tous est responsable du départ de Triphon; un mariage qui réunirait les deux domaines voisins n’est pas pour déplaire à sa mère. Une écriture classique, sans aucun sens péjoratif, limpide et agréable. N’oublions pas que ce livre a été écrit en 1931, les mentalités et les situations peuvent nous paraîtrent désuètes, mais l’histoire de Suzanne et des digues, elle, est intemporelle. Des paysages magnifiquement décrits. J’ai aimé cette société rurale avec ses qualités, entraide et simplicité, ce monde encore régi par certaines croyances païennes, mais la médisance et la calomnie font vite le tour du village ! ( ) De dijkgravin vertelt het verhaal van een energiek en onafhankelijk meisje dat na de dood van haar vader diens funktie als dijkgraaf in de buurt van Temse overneemt, tegen alle vooroordelen in. De roman is een lange ode aan de stroom die aan de aangelanden werk verschaft en ieder seizoen een andere gedaante aanneemt. Beeld van de dijkgravin staat in Hingene in de buurt van de Notelaer op de Scheldedijk. Zeige 2 von 2 keine Rezensionen | Rezension hinzufügen
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Google Books — Lädt ... GenresMelvil Decimal System (DDC)843.912Literature French and related languages French fiction Modern Period 20th Century 1900-1945Klassifikation der Library of Congress [LCC] (USA)BewertungDurchschnitt:
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