Dances with Wolves for a Japanese audience. Forced from Japan in 1868, two samurai make their way to the west coast of the United States and work their way inland as they take up prospecting. Saving a Native American woman who has run away from slavery at a white trading post brings the duo into contact with Crazy Horse and the Oglala Sioux. Recognized as fellow warriors with honor, they're quickly accepted into the tribe, teaching martial arts and archery and taking part in the battles and events leading up to the Battle of Little Big Horn.

It's a pretty decent adventure story that tries to be informative about the events and respectful of the people, but oversteps as the liberties taken by the creator start to pile up. The Japanese men practically take a leadership role in the tribe, and the rivalry between Custer and the title character eclipses that of Crazy Horse or Sitting Bull. Still, Taniguchi's heart is in the right place and the art is excellent. ( )

J’avais repéré ce manga dans les bacs de la bibliothèque municipale. Le mélange entre Japon et Amérindiens m’avait attirée, alors maintenant que je suis dans une frénésie de mangas, je l’ai emprunté, sans même me rendre compte que c’était un manga du même auteur que [Quartier lointain], lu (et grandement apprécié) quelques semaines plus tôt.
Cette fois, je dois avouer que j’ai moins accroché. Je n’arrive pas à déterminer la part de vrai et d’inventé dans cette histoire. Des samouraïs japonais se sont-ils vraiment retrouvés en territoire indien, voire aux côtés de Crazy Horse, ou tout cela n’est-il que de l’affabulation complète ? J’ai toujours beaucoup de mal lorsque je ne peux pas faire la part entre réalité historique et invention romanesque, et cela a parasité ma lecture pendant tout le temps où elle a duré.
Sinon, l’histoire est plutôt bien menée, sans trop de clichés me semble-t-il, et avec une belle façon de montrer les ponts entre des cultures différentes et comment leurs philosophies, même si elles s’expriment différemment, peuvent se rejoindre.
Ce fut donc une lecture en demi-teinte, intéressante et bien menée, mais étrange de par l’idée même de western japonisant. Les dessins, dans leur simplicité apparentes, sont intéressants, les paysages sont bien rendus. Il y a donc matière à rêver et à réfléchir dans ce livre, mais je n’ai pas su me laisser emporter comme il l’aurait fallu.

Deux samourais Sky Hawk et Winds Wolf sont obligés de s'exhiler aux États-Unis après la défaite de leur clan. Bien sûr, Sky Hawk et Winds Wolf ne sont pas leurs noms de 'baptême'.

Ces noms ils les gagneront lors de leurs combats au côté des Sioux pour préserver leur indépendance et leur mode de vie. Leur destin est lié à celui de la nation Sioux et de Crazy Horse par le respect du mode de vie des 'Guerriers'. J'ai suivi avec plaisir et trépidation les évènements menant à l'issue finale.

"Et si l'état américain avait respecté les traités ?". J'ai été prise de nostalgie pour un mode de vie originel, respecteux de la parole donnée et d'une harmonie avec la Nature. Bien évidemment "Avec des si, on met Paris en bouteille".

Ce roman graphique est un bel hymne à la lutte de la nation Sioux pour conserver son droit à vivre sur son territoire et à l'amitié pouvant unir deux peuples que l'on pourrait dans un premier temps penser alien.

Dans une réalite alternative, Crazy Horse, Sky Hawk et la nation Sioux continuent à chasser le bison dans les grandes plaines. ( )