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Anneli FurmarkRezensionen

Autor von Red Winter

13+ Werke 151 Mitglieder 11 Rezensionen

Rezensionen

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C’est étrange, j’ai lu une bd sur un suje très proche en début d’année, [Soixante printemps en hiver], est-ce un nouveau genre qui émerge ? Celui des histoires de femmes qui s’émancipent de leur couple à 50 ou 60 ans passés et qui découvrent par la même occasion leur homosexualité.
Mais autant j’avais beaucoup aimé le roman graphique d’Aimée de Jongh et Ingrid Chabert, autant ici j’ai été assez déçue. Le fait que le sujet ne m’a paraissait pas nouveau a joué, ce qui est injuste puisque ce livre est paru avant, mais ce n’est pas la seule raison. En effet, ici, la personnage principale, Elise, semble un peu irréaliste. Elle est infidèle à son mari, mais elle l’aime toujours et souhaite donc rester avec lui tout en poursuivant sa liaison, mais quand lui se met à chercher ailleurs, elle se sent blessée, et puis une fois qu’elle se retrouve seule, elle voudrait que son amante la rejoigne... Je sais que les sentiments ne sont pas toujours rationnels, mais Elise donne un peu l’impression d’être très égocentrique et de vouloir le beurre et l’argent du beurre. Cette façon de se comporter ne me l’a pas rendue sympathique et mon plaisir e lecture s’en est ressenti.
Et puis les dessins en noir et blanc ne m’ont pas convaincue non plus. Je n’ai cessé de les comparer aux superbes dessins de [Soixante printemps en hiver], à leur tendresse et leur empathie. Ici, rien de tout cela, un trait noir assez grossier, qui n’a pas su me faire ressentir la douceur ou la profondeur des sentiments (la couverture, avec ce visage tout simple qui semble si serein étant plutôt l’exception que la règle). C’est donc une petite déception que ce livre pour moi, et une envie encore plus grande de dire à quel point [Soixante printemps en hiver] est un superbe roman graphique !
 
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raton-liseur | 3 weitere Rezensionen | Dec 27, 2022 |
Elise y Dagmar se comportan como cualquier otra pareja de enamorados: las dos mujeres intercambian mensajes hasta bien entrada la madrugada, comparten canciones que parecen hablar de su historia, se envían emojis de corazones, una vez, y otra más, y otra. Nada que no hayamos hecho todos. Salvo que Elise y Dagmar están en la cincuentena y felizmente casadas con otras personas…

Ninguna esperaba que sucediese, pero ya es tarde para frenarlo. El amor, el deseo, los celos y las lealtades surcan estas páginas de la mano de Anneli Furmark, referente indiscutible de la novela gráfica europea, y acompañan a las protagonistas en el dolor y el júbilo de unas vidas tomadas por asalto, que saltan por los aires cuando un cruce de miradas lo cambia todo.
 
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bibliotecayamaguchi | Oct 24, 2022 |
A study in selfishness, hypocrisy, and jealousy. I take satisfaction in watching the protagonist suffer in an ongoing hell of her own making, otherwise it'd be a two-star book for me.

I'd forgotten I'd one-starred a super dreary book by this creator -- Red Winter --otherwise I might not have bothered with this one.
 
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villemezbrown | 3 weitere Rezensionen | Sep 27, 2022 |
Note: I accessed a digital review copy of this book through Edelweiss.
 
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fernandie | 3 weitere Rezensionen | Sep 15, 2022 |
adult graphic fiction (translated from Swedish)
happily (or not so happily?) married 50-something year old Elise falls in love with Dagmar (who is married to another woman herself) and things get really messy and complicated.½
 
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reader1009 | 3 weitere Rezensionen | Jun 2, 2022 |
A slice-of-life vignette about a women unsatisfied with her life in a dreary Swedish town who begins an affair with a young Communist. The color palette really serves to underscore the emotions of hopelessness and being stuck that the characters feel.
 
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Elna_McIntosh | 3 weitere Rezensionen | Sep 29, 2021 |
Vardaglig familjedrama i ett 70-tals kommunistmiljö någonstans i norra Sverige. Vintern är kall, folk söker sig till varandra, och monotonin leder till klickbeteende. När ingruppen (eller familjen) blir alltför hämmande måste gränserna brytas.

Lågmält men bra gjort!
 
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Petroglyph | 3 weitere Rezensionen | Nov 22, 2019 |
A low-stakes domestic drama is not helped by its dreary Swedish winter setting. A boring waste of time.
 
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villemezbrown | 3 weitere Rezensionen | Jul 28, 2018 |
J’ai voulu continuer ma découverte des albums d’Anneli Furmark et j’ai choisi le précédent album qu’elle avait publié aux éditions çà et là, en 2013. Pourquoi celui-ci ? Parce qu’il se déroule en Islande … pour être honnête, c’est aussi parce qu’il était en numérique ! L’histoire est assez simple. Une mère et son fils adolescent partent en vacances en Islande avec le nouveau compagnon de la mère. Celui-ci est le plus enthousiaste des trois, complètement grisé par le côté très minéral et ancestral du pays. La mère est beaucoup moins enchantée car elle voit du danger partout. L’adolescent est un adolescent, et donc est plutôt indifférent et/ou lassé par les paysages et concentre plutôt sa « haine » sur le nouveau compagnon de sa mère.

J’avoue avoir eu peur que l’album ne tourne qu’autour de cette situation difficile entre le beau-père et le fils, avec la mère entre les deux. Je me suis dit que j’allais vite me lasser mais à partir de ce début classique, Anneli Furmark déroule une histoire des plus tragiques (avec un retournement de situation qui laissera pendant quelques pages, dans l’expectative de la suite).

Là encore, le contraste entre l’histoire et les paysages est très utilisé : on a d’un côté l’intime, la proximité et de l’autre l’immensité, l’infini des paysages. Quand les deux se rejoignent, le lecteur ne peut qu’être soufflé.

Les dessins et la lumière de cette BD sont par contre totalement différente d’Hiver rouge. Le livre ici est baigné par la lumière. J’avoue avoir préféré cet album juste à cause des paysages islandais.½
 
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CecileB | Dec 28, 2016 |
On est en Suède, à la fin des années 1970, dans un lotissement d’immeubles. Siv est mariée, avec trois enfants et travaille dans la section jeunesse du parti social-démocrate. C’est important pour l’histoire car ce parti vient de perdre les élections, après quarante ans de pouvoir, ouvrant la voie à une période d’incertitudes politiques. Ainsi, en coulisse, s’activent plusieurs partis d’extrême gauche tant au point de vue national qu’au point de vue local, dans les entreprises et dans les rues des petites villes.

C’est dans ce contexte que Siv, ayant une vie bien rangée, tombe amoureuse d’un jeune homme, Ulrik, militant d’extrême gauche, arrivé récemment dans la petite ville pour aider à la propagation des idées de son parti dans les rues comme dans les usines.

On voit déjà que Siv et Ulrik sont totalement différents, au niveau de leurs âges, de leurs convictions, de leurs vies familiales … C’est cet amour « malgré tout cela » qui va être au centre de cette BD : est-ce qu’elle est prête à tout lâcher pour son amant (mari et enfants) ? est-ce que lui est prêt à faire le sacrifice de ses convictions pour son amour ? On pourrait répondre tout simplement, en disant que c’est une histoire et donc oui, ils peuvent le faire. Sauf que l’auteur rend la chose plus compliquée. Toute la ville est politisée (plus exactement tous les personnages). Le mari est syndicaliste dans la même usine qu’Ulrik, mais du côté socio-démocrate. Quand le mari parle d’Ulrik à la maison, il parle de ses convictions plutôt que de la personne. Cela rend la vie de Liv plus complexes puisqu’elle juge non plus son amant sur sa personne propre mais aussi sur ses idées. Du côté d’Ulrik, c’est un peu la même chose. Il habite avec un couple du même bord politique que lui (c’est un peu les chefs locaux du parti) et qui le logent en attendant autre chose. C’est aussi dans cet appartement qu’il reçoit sa maîtresse. Quand ils se font surprendre, forcément là encore, ce n’est pas la femme qui est vu mais une personne travaillant pour l’autre camp. Ulrik doit choisir, en tout cas, pour les membres de son parti, entre sa maîtresse et ses idées. Il n’est donc pas tout à fait dans la même situation que Siv mais lui aussi doit choisir.

Les choix des personnages, leurs convictions et leurs tempérament sont au oceur de cette BD. Cela donne quelque chose qui devrait être en ébullition. En fait, tout est refroidi par le choix de la colorisation, très sombre, très noir et blanc.
 
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CecileB | 3 weitere Rezensionen | Dec 28, 2016 |
Ibland stöter man på frågor i stil med »vilken historisk person skulle du helst vilja träffa?« För Anneli Furmark tycks svaret vara August Strindberg, för i sin serieberättelse August & jag berättar om vad som sker när författaren plötsligt en dag uppenbarar sig för litteraturstudenten Sigrid, varigenom hon blir den som får försöka få honom att komma till någotsånär rätta i 2000-talets Stockholm, med vintervärme och bullrande trafik. Efter ett tag börjar de så diskutera hans skrivande, och hur han kan vara både så inskränkt och så fantastisk på en och samma gång (Strindberg påpekar dock att det där till viss del är fel: hans böcker är ju inte alla skrivna vid ett och samma tillfälle).

Tecknarstilen är mörk, med mycket textur istället för enfärgade fält, men fungerar egentligen bäst för döda föremål; ansiktena har en tendens att vara en aning oformliga och klumpiga, även om de är expressiva.

Styrkan ligger främst i diskussionen av Strindbergs författarskap; hans uppdykande i nutiden ger möjlighet för en del lättare poänger (Strindberg i mössa och halsduk ser rätt skojig ut), men räcker egentligen inte för en hel berättelse. Det är därför synd att hans författarskap inte fått ännu mer utrymme; som det nu är skrapas det bara lite på ytan angående hans kvinnosyn men avslutas när det precis börjat bli intressant. Trots att det är en rätt kul liten seriebok lämnar den tyvärr inte en riktigt tillfredsställd.½
 
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andejons | Oct 11, 2009 |
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