Cypora Petitjean-Cerf

Le musée de la Sirène ("The Mermaid Museum") is a surrealistic or even absurd novel. It is fascinating how the author goads the reader on to accept mounting levels of ridicule in a totally absurd story. While a classical feature of prose or novellistic writing has always been suspense, i.e. the ability of the writer to keep the reader interested to keep on reading, Cypora Petitjean-Cerf clearly tests your credulity or willingness to keep going with a story that starts out crazy and becomes increasingly ridiculous. She manages to do this by creating a clever mix of genre familiarity and empathy, so that the reader feels comfortable to go on reading. The manipulation of the reader even leads you to accept and appreciate the development of the role of the great bogeyman in the story, i.e. the role of the Chinese.

I wouldn't say this is a great novel, but when read as an experiment, and given the effect of the novel upon the reader as described above, I would still say it is a remarkable novel that deserves attention. In as far as you can accept the story, it is both entertaining, funny, and at a certain level moving.… (mehr)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Petitjean-Cerf-Ce-jour-la-jai-commence-a-detester...

> CE JOUR-LÀ, J'AI COMMENCÉ À DÉTESTER LES TERRORISTES, par Cypora Petitjean-Cerf (Stock, 2015, Broché, 144 pages). — J’enseigne les lettres depuis douze ans dans un collège du Val-de-Marne. C’est dans cette même banlieue, à cent mètres du collège, qu’Amedy Coulibaly abandonna sa voiture le 8 janvier 2015, entraînant le bouclage de tout le quartier et de notre établissement.
Ce livre contient des paroles d’élèves au lendemain des attentats survenus à Charlie Hebdo et à l’Hyper Cacher, explore leurs réactions et tente de comprendre qui est cette jeunesse.
La semaine du 26 janvier, je propose en effet à mes élèves de 4e et de 3e de revenir par écrit sur les événements des 7, 8 et 9 janvier. Je leur distribue des feuilles blanches sur lesquelles ils sont dispensés d’écrire leur nom afin de se sentir libres. Mon souhait : recueillir des opinions spontanées, une pensée qui ne soit ni encadrée, ni dirigée, ni teintée par celle de l’adulte. Au lendemain des événements, c’est là que réside à mon sens la vraie mixité : dans la disparité des réactions. Engagement versus nonchalance. Conscience collective versus individualisme. »
—Johnny Gimenez (Culturebox)… (mehr)