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Lädt ... Cites d'islam (French Edition)von Nadjm oud-Dine Bammate
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Google Books — Lädt ... GenresMelvil Decimal System (DDC)909.097671History and Geography History World history Other Geographic Classifications Socioeconomic Regions By ReligionKlassifikation der Library of Congress [LCC] (USA)BewertungDurchschnitt: Keine Bewertungen.Bist das du?Werde ein LibraryThing-Autor. |
…chaque seconde reflète le miracle de la création dans toute sa spontanéité. Tout geste frémit encore du bruissement du premier jour…
mais il reste dans sa nouveauté même, un écho d’éternité…
…le geste décisif pour marquer le passage à la foi est de tourner son visage. Vieux rite du désert. ». Éditions Arthaud
—3e millénaire, (10), Hiver 1988
> Une pointe d’exotisme Vu de ce côté-ci de la planète, l’Orient baigne dans une aura de mystère. Grâce au spécialiste des questions islamiques Nadjm oudDine Bammate, ce voile se soulève quelque peu pour nous révéler la splendeur des Cités d’islam. Ce livre, bien qu’inachevé en raison de la mort subite de l’auteur en 85, demeure fascinant tant par son contenu que par ses photographies, souvent de véritables oeuvres d’art en elles-mêmes. On y traite de l’orientation de la cité, de sa relation avec l’environnement, de la disposition des institutions, commerces et habitations autour de la mosquée, etc. Bagdad, Tombouctou, Damas, Constatinople, Samarcande : des noms de cités qui font rêver.., (Chez. Arthaud, $182).
—Le soleil, 12 décembre 1987
> Dans Cités d'Islam (Arthaud, 1987). Nadjm oud-Dine Bammate écrivait : « Le temps n’est ni une durée ni un enchaînement mécanique de moments successifs... Chaque seconde reflète le miracle de la création dans toute sa spontanéité. Dieu, dit le Coran, étend le monde comme un tapis bariolé et le ramène à lui en un clin d’oeil. Tout geste frémit donc encore du bruissement du premier jour, chaud comme un cheval, frais comme une joue d’enfant. Mais il reste, dans sa nouveauté même, un écho d’éternité. »
Plus loin, il décrivait : « Un labyrinthe de ruelles refermées sur elle-mêmes, telle apparaît la ville musulmane traditionnelle. Vue d’en haut, la ville se découvre comme une formation cristalline homogène, de cubes et de prismes qui sont autant de maisons tassées l’une contre l’autre.
Espace retranché des allées et venues de la vie quotidienne, réseau entrelacé comme noué de voies qui semblent n'aboutir nulle part, la ville ne forme qu’un seul tout.»
—Le devoir, 5 décembre 1991