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Lädt ... La Maîtresse de guerrevon Gabriel Katz
Keine Keine aktuelle Diskussion zu diesem Buch. Le personnage principal, Kaelyn, est la fille d’un maitre d’armes. Il commence à lui enseigner le métier malgré la désapprobation de tous : une fille guerrière, impensable! Il meurt malheureusement avant d’avoir fini sa formation. Comme elle ne parvient pas à trouver d’autre maître qui accepte de lui enseigner, Kaelyn s’engage dans la grande armée qui part en croisade contre les esclavagistes du Sud. Dès la première bataille, Kaelyn est faite prisonnière… par le maître de guerre adverse. A force de culot et d’obstination, elle parvient à le convaincre de la prendre comme élève. Évidemment, le thème principal du bouquin est le sexisme. Aussi bien dans le nord que dans le sud oriental, la place des femmes est au fourneaux, pas dans les métiers des armes. Le thème ne me tentait pas vraiment, trop vu et revu. Ceci dit, l’auteur ne nous rabâche pas les poncifs féministes mais nous dépeint une héroïne qui n’est pas un garçon manqué et des personnages secondaires féminins qui savent tirer leur épingle du jeu. C’est plutôt réussi. Ce qui est aussi intéressant, c’est que le livre échappe au manichéisme ambiant dans la fantasy : les bons annoncés ne le sont pas tant que ça et les esclavagistes ne sont pas si méchants, à part ce fâcheux penchant. Les personnages principaux ne sont ni tout blanc ni tout noir non plus, surtout l’ambivalent maitre de guerre qui semble souffler le chaud et le froid aussi bien dans la guerre et la politique que dans les relations avec son élève. Gabriel Katz raconte bien les histoires, c’est très facile à lire, difficile à lâcher avant de savoir la fin. A noter qu’il y a bien 2-3 sorciers dans l’histoire mais pas de dragon, ni même d’elfes. C’est donc de la fantasy pratiquement sans fantastique. Il n’y a pas d’orques non plus quoique les waegs n’aient rien à leur envier, si ce n’est qu’ils n’ont pas la peau verte. J’ai quand même préféré le puits des mémoires mais la maitresse de guerre est vraiment très agréable à lire sur un seul tome, un format assez rare dans le genre. Voir mon avis sur mon blog Zeige 2 von 2 keine Rezensionen | Rezension hinzufügen
À sa naissance, tout le village du Nordland était en deuil : l'enfant unique d'Horn, le maître d'arme, était une fille. Vingt ans plus tard, Kaelyn n'aspire qu'à marcher sur les traces de son père et devenir Maîtresse de guerre, la plus haute des distinctions. Armée de son courage, de son talent et de quelques rudiments d'escrime, elle prend la route du lointain sultanat d'Azman, terre barbare en proie aux cannibales. Mais ce n'est pas sur le champ de bataille que la belle et sensuelle Kaelyn va mener son combat, car de nombreux défis l'attendent avant qu'elle puisse se prétendre digne de porter l'épée... " Un roman de fantasy, d'action, d'aventure et bien plus encore, qui séduira un large public, quels que soient les goûts de chacun, tant il est diversifié, fluide et captivant. Un très bon moment de lecture ! " ActuSF Keine Bibliotheksbeschreibungen gefunden. |
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Comme écrit sur la quatrième de couverture, il s'agit d'une fille (Kaelyn) qui devait être un fils, pour succéder à son père (Horn), le maître de guerre d'un peuple à Nordland. Malgré ça, elle part quand même en guerre avec ces compatriotes pour combattre le lointain sultanat d’Azman. Ceci est décrit comme terre barbare en proie aux cannibales. Mais une fois arrivé là-bas, Kaelyn se rend compte que "terre barbare en proie aux cannibales" est complètement faux; elle découvre toute une civilisation développée (ce qui peut être considéré comme une critique sur notre [l'Europe, les États-Unis] point de vue sur, par exemple, le Proche-Orient et Moyen-Orient [ou d'autres pays/régions], non?). Et elle veut y passer plus de temps, parce qu'elle croit qu'elle pourra se développer, devenir maîtresse de guerre plus facilement chez eux que chez son propre peuple.
Et une chose mène à une autre. Elle commence comme esclave, mais arrive à monter l'escalier (en quelque sorte)
Kaelyn entre-temps doit se battre pour avoir un statut spécial, pour vivre son rêve, pour être accepté en tant que femme dans un monde largement dominé des hommes. Et des Waegs, comparable avec, je dirais, les Uruk-hai dans Le Seigneur des Anneaux (LOTR), mais encore plus féroces.
Tout n'est pas décrit, c'est au lecteur de remplir les vides. Les batailles des Rouges contre les Azmaniens étaient un peu simples, je trouve. Par contre, Gabriel Katz =/= Bernard Cornwell. Chacun son style et ses propres capacités. Mais bon, l'histoire se tournait donc autour Kaelyn et le fait de devoir se battre en tant que femme dans ce monde si on veut réaliser son rêve.
Mais il y avait aussi au moins un moment auquel je me disais: "Comment?"
Il y avait aussi une mention d'une langue locale, le Tchi. Cela me faisait penser au... Ch'ti. Un petit jeu de mots délibéré ou juste une coïncidence? ;-)
En tout cas, cette histoire m'a beaucoup plu, non seulement grâce au style raisonnablement accessible, mais aussi aux pincées d'humour. Bef, une chouette, eh, amuse-gueule par rapport aux histoires plus sérieuses ou épaisses. (