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Lädt ... Le livre du rien : Quintessence du Zenvon Osho
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> Bien qu'Osho soit un personnage controversé, on ne peut lui enlever son génie dans le commentaire de beaucoup d'ouvrages spirituels, et notamment dans celui-ci.
—Danieljean (Babelio)
> Un superbe commentaire d’Osho sur le Hsin Sin Ming
Par Zuihô (Livresbouddhistes.com), le 9 juin 2018 (Sur Amazon.fr) 5/5
> SI LE CHERCHEUR EST LE CHERCHÉ: TOUT BAIGNE!
Par chamar3, le 28 mars 2019 (Sur Rakuten.com) 5/5
Il s'avère inutile de palabrer au sujet des propos d'Osho! Pourquoi? Ils sont une expression du Silence, de l'Absolu et ne sont pas limités par une approche intellectuelle. La plus pure intuition est de mise pour se fondre dans le Tout, l'Un sans second...
''Le mental est le bol du mendiant''... '' Écoutez ces mots. Ne vous contentez pas de les écouter, imbibez-vous-en. Laissez-les fondre dans votre coeur. Ne les mémorisez pas; laissez-les circuler en vous, devenir votre sang et vos os. Mangez-les, digérez-les et oubliez-les''. … ; (en ligne),
URL : https://fr.shopping.rakuten.com/offer/buy/46574817/Osho-Rajneesh-Le-Livre-Du-Rie...
> LE LIVRE DU RIEN, Quintessence du Zen, de Osho. — Voici encore un excellent ouvrage d’Osho qui commente ici le Hsin Sin Ming, recueil de poèmes sur la Foi Véritable, écrit à la fin du 6e siècle par Maître Sosan. C’est le plus ancien texte du Ch'an chinois. L’auteur ne considère pas très utile de nous présenter Maître Sosan car, pour lui, sa biographie n’a aucune importance. En effet, quand un homme s’illumine, il n’a pas de biographie. Il n’est plus la forme. Seules ses paroles ont de l’importance au sens où elles touchent l’Essentiel en nous, et le fait même de l’écouter (ou de le lire) peut devenir une transformation.
Dans cet ouvrage, on retrouve les grandes idées directrices d’une démarche de connaissance de soi dans la lignée de celle de Krishnamurti ou de Gurdjieff. Notamment l’approche d’une méditation non-discursive. Selon Osho, le but de la méditation est de « vous donner de petits aperçus de ce que vous n’êtes pas le mental. Pendant quelques instants, le mental s’arrête et vous êtes toujours là. Au contraire vous êtes davantage - votre être déborde. Quand le mental s’arrête, c’est comme si quelque chose qui vous drainait continuellement s’était arrêté. Tout à coup, vous êtes inondés d’énergie… Vous n’êtes pas le mental sinon, comment pourriez-vous vous laisser tomber vous-mêmes ? Il faut commencer par laisser tomber l’identification, alors on peut laisser tomber le mental.
Toute la méthode de Gurdjieff, c’est d’apprendre à ne pas s’identifier. La prochaine fois qu’un désir survient, observez-le. Dîtes-vous en vous-mêmes : "très bien, je vais observer où ce mental se dirige". Et vous sentirez une distance, vous le regarderez. Qui est celui qui regarde, ce spectateur ? » Cette dernière question renvoie assurément le chercheur à sa recherche et à sa propre nature.
Enfin, pour nous éclairer sur l’enseignement de Maître Sosan et sur ses commentaires : Osho nous offre pour nous délecter quelques histoires du Mulla Nasruddin, mettant toujours en relief l’absurdité du fonctionnement ordinaire de la pensée conditionnée et dualiste. Ed. Almasta, 2006. 300 p
—3e millénaire, (81), Automne 2006 ( )