> A L'ADRESSE DE CEUX QUI CHERCHENT, de Alain Guillo - Préface de François Brune. — On se souvient du témoignage du journaliste Alain Guillo. Un grain dans la machine (1989). Otage, isolé du monde extérieur dans une prison afghane, pendant neuf mois : Alain Guillo a lutté en explorant les profondeurs de sa conscience.
Dans sa solitude, des “voix” sont venues à sa rencontre, des guides d’une nature supérieure qui l’ont mis, peu à peu, sur le chemin d’un enseignement lumineux. Ce dialogue entre l’âme d’un vivant et les âmes des morts s’est poursuivi pendant trois années d’une expérience exceptionnelle, que ce récit tente de nous transmettre.
Comme le souligne François Brune dans sa préface, le dialogue d’Alain Guillo avec l’au-delà est une enquête « sur toutes les questions essentielles qui sont aussi les nôtres et qui permettent de comprendre un peu ce que nous faisons sur cette terre… Très loin des illuminés ou des imposteurs, le message transmis par Alain Guillo est spirituel. » Ed. Robert Laffont, 1991 - 235 p.
—3e millénaire, (20), Été 1991

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Guillo-A-ladresse-de-ceux-qui-cherchent/139020
> Florinette : http://www.leslecturesdeflorinette.fr/2015/11/a-l-adresse-de-ceux-qui-cherchent-...

> Dans la solitude d’une prison afghane, le témoignage lumineux d’un journaliste sauvé par son dialogue avec l’au-delà.
—Pocket

> A L'ADRESSE DE CEUX QUI CHERCHENT, de Alain Guillo. — L’histoire d’Alain Guillo est fantastique. Elle peut saisir n’importe qui, que ce soit dans la vie paisible d’homme responsable avec ses contraintes familiales, éducatives et professionnelles ou celles d’un individu engagé dans l’action.
Kaboul… On se souvient du témoignage de A. Guillo, un grain dans la machine (1989). Otage, isolé du monde extérieur dans une prison afghane pendant neuf mois, A. Guillo a lutté en explorant les profondeurs de sa conscience. Dans la solitude des « voix », sont venues à sa rencontre, des guides d’une nature supérieure qui l'on mit, peu à peu, sur le chemin d’un enseignement lumineux. Ce dialogue entre l’âme d’un vivant et les âmes des morts s’est poursuivi pendant trois années d’une expérience exceptionnelle, que ce récit tente de nous transmettre. Pour qui cherche des réponses sur l’âme, l’esprit, sur l’expression d’une volonté supérieure - sur Dieu, sur la réincarnation et sur notre avenir éternel, ce livre sera l’un de ceux qui compte tant il est, dans sa grande authenticité, éblouissant d’évidence. Comme le souligne François Brune dans sa préface, le dialogue de A. Guillo avec l’au-delà est une « enquête » sur toutes les questions essentielles qui sont aussi les nôtres et qui permettent de comprendre un peu ce que nous faisons sur cette terre. Très loin des illuminés ou des imposteurs, le message transmis de A. Guillo est spirituel. Il souligne quelques points essentiels à notre évolution, dès ce monde et dans l’autre. Dieu est présenté comme Energie, source de tous les êtres, mais aussi comme celui que nous devons rejoindre au point de nous « fondre » en lui. D’autres auraient parlé d’alpha et d’oméga. Le message, là, est le même. La doctrine des « énergies încréées », qu’on le veuille ou non, n’a pas son équivalent en Occident. De même la tradition chrétienne occidentale refuserait violemment, contre le témoignage de ses propres mystiques, l’idée d’une fusion en Dieu, alors que la tradition des églises orthodoxes, moyennement quelques précisions importantes s’y reconnaîtrait tout à fait. Sur ce point comme sur tant d’autres, le christianisme oriental est un pont, pas seulement géographique, avec l’Extrême Orient. Beaucoup plus mystique, il est, par là même, plus universel. L’auteur conclut dans A l’adresse de ceux qui cherchent : « ouvrez votre conscience, posez la question juste, vous recevrez la réponse. Elle sera votre réponse, celle qui convient au niveau que vous avez atteint. Ne cherchez pas l’inaccessible, progressez en confiance. Le jour viendra ou vous aurez gagné le droit de savoir. Les portes chez nous ne sont pas fermées comme celles d’un coffre fort. Elles ne sont pas franchissables tant que vous n’êtes pas prêts. Pour votre sécurité. » Le livre ne suscite pas de grands débats intellectuels sur le fondé des perceptions du narrateur. Il est le témoignage simple, dépouillé d’un journaliste professionnel qui se demande encore aujourd’hui :
« Pourquoi moi ? Car franchement j’étais très loin de tout cheminement mystique. Je me suis télescopé à l’au-delà et aux autres dimensions de I’Etre. » Ed. Robert Laffont
—Nouvelles Clés, (18), Juillet/Août 1991, (pp. 93-94)