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Lädt ... Les Paroles du Huit - fois - difforme : Dialogue sur la réalitévon Alain Porte
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![]() GenresKlassifikation der Library of Congress [LCC] (USA)BewertungDurchschnitt:![]()
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> Ce livre est une traduction à partir du sanscrit qui est contenu dans le livre en anglais de Swami Nityaswarupananda de l'ordre de Ramakrishna. Monsieur Porte a un langage très poétique et inspirant. À mon avis ceci est la meilleure version française du Astavakra Samhita.
—Danieljean (Babelio)
> « L'Unique observateur de toute chose, libéré,
tu l'es réellement toujours. Ce qui t'enchaîne, c’est que tu vois
le témoin comme un autre toi-même. »
—Les paroles du huit-fois-difforme, Dialogue sur la réalité (Vie siècle), Éd. de l'Éclat.
> LES PAROLES DU HUIT-FOIS-DIFFORME, de Alain Porte (trad.). — Traduction de L’"Astavakra Samhita" et une mise en situation dans le mahabharata. Ce texte est tellement merveilleux, chaque verset exprimant si profondément la non-dualiié, qu’il mérite toujours d’être cité, la traduction de A. D. Néel a été accueillie de façon élogieuse dans notre rubrique "Textes Traditionnels" ; cette vetsion le mériterait également par l’originalité et la sensibilité renouvelée qu’elle apporte. Ed. De l’éclat, 1996 - 104 p.
—3e millénaire, (48), Été 1998
> LES PAROLES DU HUIT-FOIS-DIFFORME, Dialogue sur la réalité, de Alain Porte (trad.). — Le texte qui nous est ici présenté et traduit est l’Ashtâvakra Samhitâ. Le roi Janaka s’y entretient avec le jeune Ashtâvakra, à la recherche de réponses sur la connaissance, la réalité, la libération de l’esprit et l’émancipation du désir. En fait, le dialogue est quelque peu fictif et le traité est un résumé de la doctrine du monisme védantique. La date de l’oeuvre est inconnue ; elle semble avoir été composée entre le IVe et le VIIe siècle de notre ère. Toutefois les deux personnages sont empruntés à l’antique épopée du Mahâbhârata et plus précisément à la troisième de ses dix-huit parties, le « Vanaparvan », c’est-à-dire «La forêt». Le côté énigmatique du titre s’explique par ce passage de la Bhagavad-Gîtâ, VII, 4-5 : « Terre, eau, feu, air, éther, pensée, conscience et essence du moi, telles sont les huit divisions de ma nature. » Naître et s’incarner serait se « déformer » perdre la nature essentielle non manifestée qui soutient le monde. Posséder une « forme » déterminée, c’est être « difforme », et la vie est la désintégration de l’Etre Un, que la parole ne peut dire ni l’entendement concevoir. Seule l’eau de la Conscience Une, à la manière de la rivière Samangâ, permettrait la réconciliation des parties de l’âme.
Le texte original est donné en regard de la traduction française, selon l’édition du Swami Nityaswarûpânanda, publiée par l’Advaita Ashrama, Calcutta (1975). En fin de volume un glossaire analyse les principaux termes philosophiques de l’oeuvre. Éd. de L’Éclat, 1996, coll. « Philosophie imaginaire », 104 p.
In: Revue Philosophique de la France et de l'Étranger, T. 188, No. 1, HEGEL (JANVIER-MARS 1998), p. 122… ; (en ligne), (Pierre TROTIGNON)
URL : https://drive.google.com/file/d/1YEe7oRc7jDz-gOb9hWNLNcZlORBM_HHL/view?usp=shari... (