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Will O'The Mill

von Robert Louis Stevenson

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Will o' the Mill is a short-story by Robert Louis Stevenson. Robert Louis Balfour Stevenson (13 November 1850 - 3 December 1894) was a Scottish novelist, poet, essayist, and travel writer. His most famous works are Treasure Island, Kidnapped, and Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde.A literary celebrity during his lifetime, Stevenson now ranks among the 26 most translated authors in the world. His works have been admired by many other writers, including Jorge Luis Borges, Bertolt Brecht, Arthur Conan Doyle, Cesare Pavese, Ernest Hemingway, Rudyard Kipling, Jack London, Vladimir Nabokov, J. M. Barrie, and G. K. Chesterton, who said of him that he "seemed to pick the right word up on the point of his pen, like a man playing spillikins.… (mehr)
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Basically, a short story, but a good one!...Following 2 so-so Stevenson longer pieces that i did not love, this was a breath of fresh air......a story of longing to be elsewhere, just for its own sake, and finding peace and contentment without the journey....a tale of life, love, loss and death.......and the price of complete devotion to practicality over emotional involvement. I enjoyed very much...and it made me think.....always a good thing! ( )
  jeffome | Jan 31, 2017 |
Une pépite de Stevenson, j'ai cru lire du Hermann Hesse. Totalement intemporel et fascinant. Les trois chapitres sont d'une force étonnante, plaine, montagne, étoile, amour et mort. La sagesse, le secret du bonheur, la nature, regarder, partager. La peine de pas avoir saisit l'amour mais le repos de l'ame d'être allé au bout du chemin. La mort est un médecin.
Il faut lire ce petit recueil et tout stevenson. ( )
  PUautomne | Nov 17, 2013 |
— Avez-vous jamais regardé les étoiles ? demanda-t-il, un doigt en l’air.
— Bien souvent.
— Et vous savez ce qu’elles sont ?
— J’ai imaginé beaucoup de choses.
— Ce sont des mondes comme le nôtre, dit le jeune homme. Certaines sont plus petites beaucoup sont un million de fois plus grosse que la terre ; et plusieurs de ces minuscules étincelles sont non seulement des mondes, mais des réunions de mondes qui tournent les uns autour des autres au milieu de l’espace. Nous ignorons ce qu’elles peuvent contenir, n’importe laquelle ; peut-être la réponse à tous nos problèmes ou la guérison de tous nos maux ; mais jamais nous ne pourrons y aller voir ; toute l’ingéniosité des hommes les plus habiles ne saurait équiper un vaisseau pour atteindre au plus proche de ces astres nos voisins, et l’existence la plus longue ne suffirait pas à semblable voyage. Qu’une grande bataille vienne d’être perdue, ou qu’un être chéri meure, que nous soyons transportés de joie ou d’enthousiasme, ils n’en brillent pas moins inlassablement sur nos têtes. Nous pouvons nous rassembler ici, à toute une armée, et crier à nous rompre les poumons, nul soupir ne leur parviendra. Nous pouvons escalader la plus haute montagne, nous n’en serons pas plus près d’eux. Il ne nous reste qu’à demeurer ici-bas dans le jardin et à leur tirer notre chapeau : le clair d’étoiles se pose sur nos crânes, et comme le mien est un peu chauve, vous le voyez sans doute reluire dans l’obscurité. La montagne et la souris. C’est à peu près tout ce que nous aurons jamais de commun avec Arcturus ou Aldébaran. Savez-vous appliquer une comparaison ? ajouta-t-il, posant la main sur l’épaule de Will. Une comparaison n’est pas une raison mais elle est d’ordinaire infiniment plus convaincante.
Will pencha un peu la tête, puis la releva vers le ciel. Les étoiles lui parurent se dilater et émettre un éclat plus vif ; et comme il levait les yeux de plus en plus haut, elles semblaient se multiplier sous son regard.
— Je vois, dit-il, en se tournant vers le jeune homme. Nous sommes dans une attrape à souris.
— Quelque chose comme ça. Avez-vous déjà vu un écureuil tourner dans sa cage ? et un autre écureuil philosophiquement assis à croquer ses noix ? Inutile de vous demander lequel des deux vous a paru le plus sot.
(Partie 1, “La Plaine et les étoiles”).

Ce court roman de Stevenson s’ouvre sur l’image d’un jeune garçon qui vit près d’une route où passe quantité de voyageurs et qui se prend à rêver. Tout de suite j’en ai imaginé la suite, sachant pertinemment où allait me mener la plume de cet écrivain aux pieds souvent en mouvement, toujours à la recherche d’un ailleurs, que ce soit sur les routes des Cévennes ou sur le pont d’un navire à destination du Pacifique.
Et pourtant non, l’histoire suit un tout autre cours et se développe peu à peu comme un conte aux accents confucianistes (si je me permets ce parallèle que Stevenson ne cautionnerait peut-être pas), remplaçant l’impatience et la soif de connaître par le renoncement et l’acceptation. Même l’amour ne sera pour Will qu’un égarement passager, avant qu’il ne l’amène à comprendre qu’il vaut mieux espérer que posséder, être dans l’expectative plutôt que de vivre.
Savoir se contenter de son petit coin de pays parce que l’on sait qu’il est vain de vouloir explorer le monde, car jamais on ne connaîtra tout. Se contenter de peu parce que l’on ne peut avoir tout. C’est une philosophie que je ne partage pas, même s’il est vain d’espérer tout connaitre, pourquoi ne pas chercher à connaitre un peu, mais c’est une philosophie qui me fait réfléchir, une réflexion sur la vanité des choses et de la vie, vanité au sens de futilité plutôt qu’au sens d’orgueil.
Il est étrange de s’apercevoir que ce roman est peu de temps avant qu’il commence son Voyage avec un âne dans les Cévennes, périple de quelques semaines qui inaugure presque le tourisme de randonnée et dans lequel Stevenson adopte une attitude tout à fait contraire à celle de son personnage Will. Je ne sais ce qu’il faut conclure de cette concomitance de dates, que Stevenson a changé d’avis, qu’il cherchait à se convaincre des bienfaits de l’immobilité et qu’il n’y a pas réussi. J’aurais presque cru que ce roman était une œuvre de la maturité, d’un voyageur désabusé, mais c’est le contraire, c’est l’œuvre d’un homme qui demain prendra son bâton pour ne plus le poser que rarement, toujours tendu vers un ailleurs, dont on ne saura s’il l’a satisfait. Une réflexion qui jette une lumière étrange sur ce livre, qui, bien qu’il me semble atypique dans ce que je connais de l’œuvre de Stevenson, vaut un arrêt et une petite méditation sur les vicissitudes de la vie et des chemins qu’elle emprunte.
  raton-liseur | Oct 7, 2013 |
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Will o' the Mill is a short-story by Robert Louis Stevenson. Robert Louis Balfour Stevenson (13 November 1850 - 3 December 1894) was a Scottish novelist, poet, essayist, and travel writer. His most famous works are Treasure Island, Kidnapped, and Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde.A literary celebrity during his lifetime, Stevenson now ranks among the 26 most translated authors in the world. His works have been admired by many other writers, including Jorge Luis Borges, Bertolt Brecht, Arthur Conan Doyle, Cesare Pavese, Ernest Hemingway, Rudyard Kipling, Jack London, Vladimir Nabokov, J. M. Barrie, and G. K. Chesterton, who said of him that he "seemed to pick the right word up on the point of his pen, like a man playing spillikins.

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