Mi ero riproposto di leggere la trilogia di Chattam e l’ho fatto. Certo che ad una visione retrospettiva questo Chattam è davvero ben poca cosa: il punto forte è l’incalzare dei fatti criminosi e le descrizioni splatter, ma ad un certo punto tutto diventa troppo, eccessivo, fine a se stesso ed anche noioso in quel desiderio di stupire a tutti i costi. Per non parlare delle melense e retoriche descrizioni d’ambiente e di un uso di metafore risapute e irritanti. Con Chattam ho chiuso. (Se proprio dovessi sentire nostalgia per il genere andrei a rispolverare S. King). ( )

Une ombre inquiétante rôde dans les forêts de l’Oregon. C’est d’abord un employé de l’environnement qui est retrouvé mort, le visage horrifié. Aucune trace du criminel… Dans le même temps, des femmes disparaissent en pleine nuit, pendant le sommeil de leur époux. Pas de trace d’effraction dans les maisons… Et puis se répand une épidémie singulière : les foyers de Portland sont envahis par des araignées aux piqà»res mortelles. Les victimes s’accumulent et la psychose s’intensifie. Et s’il n’y avait qu’une seule personne derrière tout cela ? Un être pas comme les autres. On commence à murmurer le pire : et s’il n’était pas humain ? Joshua Brolin et Annabel O’Donnel vont mener l’enquête, entrer dans la toile et faire face à l’impensable. Une nouvelle génération de tueur.

A Portland, dans l'Oregon, il se passe d'étranges choses...Des femmes diparaissent en pleine nuit et sont retrouvées mortes et dans un état ... heu pas vraiment appétissant... Et puis les foyers de la ville sont envahis par des veuves noires aux piqûres mortelles...

Je suis fan de Maxime Chattam après avoir dévoré "L'Ame du Mal" et "In Tenebris". Et je n'ai pas du tout été decue par "Maléfices", la troisiéme partie de la trilogie...Au contraire, j'ai été scotchée à ce livre, je ne pouvais le lâcher. L'intrigue est très bien mené et nous tient en haleine jusqu'à la fin...Et il semble que les araignées exercent une attraction ou fascination ambigues sur les êtres humains dont il est difficile de se dissaisir...

On a l'impression que Chattam sait ce dont il parle, je crois avoir lu quelque part qu'il a suivi des cours de criminologie...Et puis j'aime beaucoup son style, qui est très précis et étonnement riche en vocabulaire. Je me suis surprise à noter plus de mots et d'expressions qu'avec pas mal d'autres auteurs plus "sérieux"...

Bon il est vrai que ses deux protagonistes ne sonts pas exempts de clichés et leurs relations sont un rien prévisibles, mais c'est pas plus grave que ca.

Arachnophobes, s'abstenir quand même ;-)

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