> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Vivenza-Nagarjuna-et-la-doctrine-de-la-vacuite/36...
> BAnQ (Leroux G., Le devoir, 5 avr. 2003) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2810639
> Paperblog : https://www.paperblog.fr/2572877/nagarjuna-et-la-doctrine-de-de-la-vacuite/
> BAGLIS TV : https://www.baglis.tv/livres/2484-nagarjuna-doctrine-vacuite.html
> Le Devoir (Georges Leroux, 5/4/2003) : https://www.ledevoir.com/lire/24814/le-bouddhisme-philosophique-le-penseur-du-mi...
> Scribd : https://fr.scribd.com/document/457144001/Jean-Marc-Vivenza-pdf
> Reçu au Lieu : https://id.erudit.org/iderudit/46098ac

> Remarquable
—Nicolas, le 3 août 2019 (Sur Amazon.fr) 5/5

> UNE APPROCHE HISTORIQUE ET PHILOSOPHIQUE. — Contrairement à Hessel, je donne une excellente note à l'ouvrage de Jean-Marc Vivenza paru voici quelques années.
J'ai lu et relu ce livre qui apporte un éclairage pertinent sur l'apport de Nagarjuna au sein de la pensée bouddhiste, et particulièrement la notion de vacuité.
Effectivement s'il peut ne rien apporter ou presque à un pratiquant, au plan spirituel (dans ce cas lire directement les textes du penseur indien qui sont très abordables) il reste un très bon outil au plan philosophique, et permet de suivre, traduire et situer dans le temps, l'évolution des écoles à leur époque, comprendre ce qui fit les différences entre le Madhyamika et le Yogachara, et l'essentiel du Mahayana, pourquoi et comment le Bouddhisme allait devenir ce qu'il est devenu par la suite.
A considérer comme une introduction, non comme un commentaire de Nagarjuna (quoique...) il aidera sans nul doute l'étudiant, le chercheur ou le curieux.
A compléter éventuellement par le livre de Claire Petitmengin "Le chemin du Milieu". (Daniel ROBERT)
—le 2 sept. 2011 (Sur Amazon.fr) 5/5

> NÂGÂRJUNA et la doctrine de la vacuité, de Jean-Marc Vivenza (2009 - Albin Michel, coll. Spiritualités vivantes - 250 p.). — Nâgârjuna est immensément renommé dans le bouddhisme, comme un des disciples du Bouddha présentant une doctrine très pure et radicale de la vacuité. Son « Traité du Milieu » fut le fondement de l’école philosophique dite du « Milieu ». Mais la voie du Milieu n’est certainement pas une voie, mais bien plutôt une absence de voie ! Car Nâgârjuna a pour direction de détruire impitoyablement les réalités, mondaines, les opinions de tout bord et de toute sorte. En particulier sur les voies spirituelles… La libération ne peut pas reposer sur des concepts relatifs. Ce qui est relatif est dénué d’existence. Sans être, sans substance propre pouvant s’appliquer à aucune chose existante, il n’est ni naissance ni mort, c’est-à-dire ni être ni non-être”. il s’agit de philosophie très pure, explorant les concepts les plus subtils. Cet ouvrage, très spécialisé sur le thème de la vacuité, est peu abordable pour un public qui ne serait pas accoutumé à penser sur de tels concepts que le vide, la vacuité, ou l’absence de substantialité du monde.
—3ᵉ millénaire, (91), Printemps 2009

> Alain Delaye. Nâgârjuna (IIe-IIIe's.). In: Sagesses sans frontières: Les plus grands sages et mystiques du monde, Première Partie : Sages Et Mystiques Dans Les Religions. II. L'Éveil Bouddhiste. 2. Les Docteurs du Mahâyâna. Almora - 2014. pp. 64-66. (SSF)

> NÂGÂRJUNA ET LA DOCTRINE DE LA VACUITÉ, de Jean-Marc Vivenza (Albin Michel, 2001). — Nâgârjuna, moine bouddhiste du IIe–IIIe siècle originaire d’Inde, est renommé pour être le fondateur de l’école philosophique dite du « Milieu ». Dans le Traité du Milieu, Nâgârjuna affirme que le principe de Vacuité fonde la réalité, c’est-à-dire qu’il en est la loi essentielle. Rendre perceptible l’imperceptible vérité, comprendre que tout échappe à la compréhension, c’est là le sens réel de la Voie du Milieu, que Jean-Marc Vivenza, philosophe, explore avec talent. (Spiritualités Vivantes)

> NÂGÂRJUNA ET LA DOCTRINE DE LA VACUITÉ, par Jean-Marc Vivenza. — Nâgârjuna, moine bouddhiste du IIᵉ-IIIᵉ siècle originaire de l’Inde, est renommé pour être le fondateur de l’école philosophique dite du « Milieu ». Le rayonnement et l’immense influence de sa pensée lui permettent d’occuper aujourd’hui une place de premier ordre à l’intérieur du bouddhisme Mahâyâna. Il affirme que le principe de Vacuité fonde la réalité. Pensée « du tréfonds de la non-pensée », selon la célèbre expression de maître Maître Dôgen, la Vacuité est une pratique concrète du non-attachement, une discipline efficiente de la mise à distance. Ed. Albin Michel, 256 pages, 7,50 €.
—L’Homme en Question, (23), Hiver 2009, (p. 7)

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