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Werke von Monique Virelaude

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Kurzbiographie
Monique Virelaude, sophrologue, tabacologue, peintre abstrait, a écrit Comment vaincre la peur (Editions du relié. 2013).
Elle donne des conférences sur la méthodologie (théorie et pratique) décrite dans son livre, et organise des stages.
Elle écrit actuellement un second livre en hommage au souffle. « notre maître intérieur ».
Voir aussi un article dans 3e millénaire n°106.
Contact : mvirelaude@gmail.com
Tél: 06 81 90 32 26

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> QUAND LE NÉOCORTEX S’ACCOUDE À LA FENÊTRE, IL ENTREVOIT L’HISTOIRE INVISIBLE NÉE DE LA PEUR, par Monique Virelaude (2019, Autoédition : mvirelaude@gmail.com) ;
Id.: Monique Virelaude : Stressée, angoissée, une si petite conscience en déséquilibre (2019, Autoédition : mvirelaude@gmail.com)
Même si ces deux ouvrages sont publiés en autoédition, nous en faisons mention car la démarche de l’auteure nous paraît porteuse d’une possibilité d’un contact vivant entre la dimension de notre fonctionnement ordinaire et celle de notre nature essentielle. Ces ouvrages appellent à une connaissance vécue de notre forme énergétique vitale. Ils commencent par se référer à notre structuration psychique : d’une part nos trois cerveaux (reptilien pour la survie, limbique pour les émotions et le cortex pour la pensée), et d’autre part des modes de fonctionnement régissant notre caractère : « notre corps est en morceaux. Nommer ces morceaux, c’est comprendre les dégâts psychiques et corporels des …structures mentales inconscientes ». Toute cette structuration de la personnalité s’est mise en place dans le but d’étouffer la peur, de ne pas ressentir ses émotions, de refouler ce qu’inconsciemment nous refusons. Cela a un prix : la force de notre élan vital se brise sur les digues des tensions intérieures. « Sans cesse, l’homme actuel oscille de l’apogée énergétique à la mort énergétique, de la puissance à l’impuissance, avec la même ignorance ». Le voyage du souffle à travers le corps est le moyen que propose Monique Virelaude pour réunifier les morceaux épars de notre corps. Le souffle rencontre des résistances, se bloque en des lieux corporels précis, s’étouffe. Dans la vie quotidienne, nous sommes en apnée. Faire voyager le souffle de haut en bas, d'un côté à l’autre, le faire aller à la découverte du paysage énergétique libère des tensions enfouies, unifie le désuni, redonne vie à l’élan vital dans sa vibration originelle. Des exercices concrets émaillent ces deux ouvrages.
3e millénaire, (134), Hiver 2019
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Joop-le-philosophe | May 3, 2020 |
> STRESSÉE, ANGOISSÉE, UNE SI PETITE CONSCIENCE EN DÉSÉQUILIBRE, par Monique Virelaude (2019, Autoédition : mvirelaude@gmail.com) ;
Id. : Quand le néocortex s’accoude à la fenêtre, il entrevoit l’histoire invisible née de la peur (2019 - Autoédition : mvirelaude@gmail.com)
Même si ces deux ouvrages sont publiés en autoédition, nous en faisons mention car la démarche de l’auteure nous paraît porteuse d’une possibilité d’un contact vivant entre la dimension de notre fonctionnement ordinaire et celle de notre nature essentielle. Ces ouvrages appellent à une connaissance vécue de notre forme énergétique vitale. Ils commencent par se référer à notre structuration psychique : d’une part nos trois cerveaux (reptilien pour la survie, limbique pour les émotions et le cortex pour la pensée), et d’autre part des modes de fonctionnement régissant notre caractère : « notre corps est en morceaux. Nommer ces morceaux, c’est comprendre les dégâts psychiques et corporels des …structures mentales inconscientes ». Toute cette structuration de la personnalité s’est mise en place dans le but d’étouffer la peur, de ne pas ressentir ses émotions, de refouler ce qu’inconsciemment nous refusons. Cela a un prix : la force de notre élan vital se brise sur les digues des tensions intérieures. « Sans cesse, l’homme actuel oscille de l’apogée énergétique à la mort énergétique, de la puissance à l’impuissance, avec la même ignorance ». Le voyage du souffle à travers le corps est le moyen que propose Monique Virelaude pour réunifier les morceaux épars de notre corps. Le souffle rencontre des résistances, se bloque en des lieux corporels précis, s’étouffe. Dans la vie quotidienne, nous sommes en apnée. Faire voyager le souffle de haut en bas, d'un côté à l’autre, le faire aller à la découverte du paysage énergétique libère des tensions enfouies, unifie le désuni, redonne vie à l’élan vital dans sa vibration originelle. Des exercices concrets émaillent ces deux ouvrages.
3e millénaire, (134), Hiver 2019
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Joop-le-philosophe | May 3, 2020 |
> COMMENT VAINCRE LA PEUR ? De la douleur à la joie, de l'obscur à l'éclat, Monique Virelaude. — Nous avions déjà fait la recension de cet ouvrage, alors publié à compte d'auteur. Le voici maintenant aux éditions du Relié, ce qui est une bonne nouvelle. Car cet ouvrage, s’il décrit avec grande pertinence la structuration de la psyché humaine, donne un chemin pratique pour arriver à relier en soi haut et bas, gauche et droite, et ainsi retrouver un souffle unitaire délié de toute peur. Nous noterons l’importance donnée à la respiration, qui par différents exercices, permet au diaphragme de se libérer de nombreuses tensions accumulées depuis la plus tendre enfance. Dans cette libération, un souffle renouvelé, frais, amplifié, a la possibilité d’irriguer le corps dans sa totalité sensible. L’énergie circule et libère ce qui aura été trop longtemps enfoui : une vie naturelle, simple. La vie. Ed. Le Relié, 2013. 332 p. - 19.90 €.
3e millénaire, (108), Eté 2013

> Monique Virelaude, sophrologue, tabacologue, écrivain, peintre abstrait (illustre essentiellement la poésie de Saint John Perse), donne des conférences sur la méthodologie (théorie et pratique) décrite dans son livre “Comment vaincre la peur”, à paraître aux Editions du Relié en 2013.
Monique Virelaude organise des stages.
Contact : mvirelaude@gmail.com
Tél: 06 81 90 32 26
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Joop-le-philosophe | Jul 4, 2019 |
> LA PEUR SOUS TOUTE SES FORMES, de Monique Virelaude. — La peur, racine de toutes les souffrances. Elle est toujours là, sous la surface, dictant des comportements parfois de fuite, parfois d’agressivité, mais toujours nous coupant de la réalité, de la situation que nous vivons. Elle nous coupe littéralement, car elle prend sa source dans ce qui en nous fut coupé, stoppé : l’élan de vie. Et ceci arriva souvent très jeune. Mais la peur nous offre aussi un cadeau. Elle est un aiguillon, oblige à se mettre en question. Car sans la peur ou la souffrance, sans ce frottement que produit en nous la vie dans tous ses aspects, aurions-nous la force d'aller à la découverte de notre vérité première, de notre essence adamique ? La peur nous pousse, tant ses effets sur nous créent du désordre : désordres organiques (tensions inutiles, maladie), désordre du sentiment, désordre de la pensée. Le préambule donne ainsi la tonalité de l'ouvrage : « L’ego vous murmure à l’oreille la même peur sous toutes ses formes : la peur de manquer, la peur de perdre, la peur d’être abandonné, la peur du vide, la peur de ne pas plaire, la peur de mourir et, en plus, la peur de vivre... C’est la même douleur. C’est cette vibration primitive de peur, ce morceau égaré, ce point douloureux, c’est ce bruit éclaté de la matière que je vous propose d'abord de rencontrer. » Cette rencontre n’est pas seulement abstraite, au contraire ! De nombreux exercices ponctuent les chapitres et permettent au lecteur une expérimentation vivante. C’est, au-delà de la clarté et même de la beauté de l’écriture, le point fort de l’ouvrage. La rencontre se fait avec le corps, les sensations, les sentiments, les pensées dictées par la peur. Le cheminement se fait en se basant sur une représentation particulière de notre psyché, en prenant ce terme au sens large : corps-sentiment-penser. Celle-ci s'est construite selon des structures basses (bas du corps) et hautes (haut du corps) dont le point de rencontre est la zone du diaphragme. L'ego, dans son désir de survie, a capté et détourné les énergies vitales pour déformer ces structures. Le résultat est une lutte, parfois larvée et parfois douloureuse, entre les structures basses et hautes. Ainsi, ce qu’elle appelle la structure orale, le besoin de se remplir, va-t-elle se trouver en conflit avec une structure haute produisant le jugement. Les exercices proposés ont pour but de se rapprocher du corps, de redonner une souplesse aux mouvements d'énergie qui nous animent, d'observer sur le vif la façon dont les structures réagissent aux situations de la vie. On peut noter l’importance qu'elle attribue au diaphragme : la respiration chez les adultes est si réduite que ce muscle perd toute tonicité. Or, nous dit-elle, le diaphragme est le pont entre le bas et le haut et il est essentiel à une mise en lien entre les énergies du bas du corps et celles du haut : « nous sommes à mi-chemin entre le minéral et la lumière ». Beaucoup de ses exercices utilisent des modes de respirations renforçant le diaphragme. Nous sommes travaillés par ces respirations, ces exercices. L'attention s’affine, une certaine qualité de silence peut doucement diffuser en nous. L’unité devient possible : tout vibre selon son rythme naturel, sans perturbation : « le bercement de l’onde majeure de neutralité envahit toute ma corporalité ». Un livre d’exploration qui, par sa constante invitation à l’expérimentation, peut apporter de nombreux éclairages organiquement ressentis sur notre mode de fonctionnement. Notons enfin que ce livre ouvrage a été autoédité, aussi est-il nécessaire de contacter directement l’auteure pour se le procurer : mvirclaude@gmail.com Ed. Auto Editions, 2012. 292 p.
3e millénaire, (105), Automne 2012
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Joop-le-philosophe | Jun 30, 2019 |

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